Cependant, par souci également de rétablir la vérité, nous avons clairement dénoncé le comportement que les membres de la CORED ont affiché après l’audience. Cette vérité n’a été ni tronquée ni inventée d’autant plus que les preuves de leurs insultes sont sur le blog concerné.
En effet, étant une publication responsable, Laotravoz a accepté de publier la réaction de cette organisation. Nous osons croire que la CORED reprendra également à la longue, cette bonne habitude qu’elle vient de reconnaître, c’est-à-dire, rétablir la vérité chaque fois qu’ils écriront le mensonge sur toute personne qu’ils accuseront dans leur fameuse lutte.
Les insultes et tout comportement puérils, doivent être bannis . Le reste,c’est au Tribunal de rendre le verdict et nous nous ferons le devoir d’informer nos lecteurs sur le verdict qui sera rendu qu’il soit en leur faveur ou défaveur. Tel est le principe de tout droit de réponse. N’en déplaise aux chantres de la démagogie !
Nous publions ci-après,l'intégralité de la réaction de la Cored faisant suite à notre article intitulé "NEBULEUSE CORED : Quand un conglomérat des écervelés broie du noir au Tribunal de Paris".
La direction
Par souci d’informer vos lecteurs, nous souhaiterions voir publier les précisions suivantes, suite à l’article publié en page 9, dans le numéro 3048 de votre revue (du 9 au 15 juin 2019) : et sur internet ht
Nous sommes très étonnés de la teneur de votre article paru dans Laotravozinfo présentant Monsieur James Ngumbu comme journaliste congolais installé en FRANCE faisant état de son poste de secrétaire général de l’Association de la presse panafricaine qui a porté plainte contre la CORED qui l'aurait attaqué dans des médias.
Cette plainte qui visait en fait M. Salomon ABESO NDONG en tant que Président de la COALITION CORED qui représente 20 partis politiques et associations en exil est en fait téléguidée par les dignitaires de la guinée équatoriale qui cherchent à nuire à cette organisation au point que son président vient de subir une tentative d'assassinat à LONDRES dont les coupables sont actuellement recherchés par SCOTLAND YARD et qui fait suite à une tentative d'assassinat à MADRID et à l'enlèvement et à la séquestration de 2 représentants de la CORED, réfugiés politiques en exil en Espagne et en Italie et parties civiles avec la CORED dans l'affaire des biens mal acquis qui viendra prochainement devant la Cour d'Appel de PARIS, lesquels sont actuellement détenus à la prison de BLACK BEACH à MALABO
Voici plusieurs années que M.James Ngumbu Munganga qui était le fondateur de la revue « panafrica » magazine et du site Internet qui porte le même nom a cessé toute publication après avoir fait paraître quelques numéros n’est plus imprimée, ni diffusée, ni disponible sur le web, le site internet ayant même été fermé.
En France, pour avoir la qualité de journaliste il faut avoir annuellement le montant de ses revenus essentiellement {plus de 50%) tiré de l’activité de journaliste et non une carte de presse donnée par une association contre une cotisation et la fourniture d’une attestation délivrée par le directeur de la revue comme celle produite par l’avocat de l’intéressé au Tribunal correctionnel de Paris le 7 juin 2018, ce qui est très facile à obtenir lorsque l’on est directeur d’une publication qui ne paraît plus, la véritable carte de presse est attribuée par la Commission de la carte d'identité des journalistes professionnels (CCIJP)
En ce qui concerne l’association de la presse panafricaine (APA) dont M. James Ngumbu se dit secrétaire général, alors que même sur certaines antennes il se présente dans le cadre d’interviews en tant que président de ladite association,
le bureau des association de la préfecture de police de Paris a bien voulu nous communiquer des documents qui montrent que Monsieur James Ngumbu ne figure ni dans le comité fondateur le pas plus que dans la liste des membres du comité de direction de l’Association, en outre, aucun procès verbal du conseil d’administration modifiant le composition dudit conseil n’a été depuis sa création déposé ou enregistré à ce jour au bureau des associations de la Préfecture.
Devant le Tribunal auprès duquel M. James Ngumbu a voulu assigner le Président de la CORED, il n’a pas été difficile de démontrer l’absence de sa qualité de journaliste et l’usurpation de son titre de secrétaire général, de même que son allégeance au pouvoir équato-guinéen.
En effet, en tant que réfugié politique en France de la dictature en RDC, il n’a pas hésité un seul instant à se mettre au service d’une autre dictature reconnue mondialement, à savoir celle du président OBIANG NGUEMA MBASOGO qui conserve tout pouvoir depuis 40 ans sans partage et sans interruption, dont il organise les conférences de presse et voyages guidés des journalistes en Guinée équatoriale en prenant soin de leur faire éviter les lieux dans lesquels 80% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté ou tout ce qui peut montrer l’absence de démocratie, le pays étant à la 171ème place au classement de reporters sans frontières, c’est dire que la tâche de M. James NGUMBU est immense...
Lors de l’audience, à laquelle le pseudo journaliste n’a pas cru bon d’assister alors qu’il était demandeur de justice, la CORED a mis en avant preuves à l'appui, son action secrète exercée pour la dictature en participant à l’exfiltration de traîtres qui ont essayé d’infiltrer la CORED et qui maintenant occupent des postes de conseiller auprès du Président.
Sur le plan juridique, malgré son qualificatif de « journaliste » pour lequel l’avocat Me Alexandre LAZAREGUE n’a pas pu démontrer au Tribunal la provenance des revenus, s’ajoute l’absence de connaissance du droit de la presse de M. James NGUMBU qui a été démontrée personnellement à la barre du Tribunal par M. Salomon ABESO NDONG, puisqu’il avait voulu assigner le Président de la CORED comme auteur d’un article paru en Espagne sur un blog privé appartenant à une personne nommément désignée, domiciliée à l’étranger hors de la compétence «ratione loci », du Tribunal français, article qui montrait son allégeance au régime du dictateur OBIANG.
Coalición Cored