L'accueil
Le Programme Alimentaire Mondial veut remédier à la situation à l’horizon 2030. Le constat dressé par le Programme Alimentaire Mondial (PAM), en partenariat avec le ministère de l’Économie, la Planification et de l'Aménagement du Territoire (MINEPAT) estime à 15,4% le taux de Camerounais souffrant de la faim. En clair, c’est un peu plus de 1.073.187 personnes qui font face à une extrême insécurité alimentaire au Cameroun, souligne Le Messager du jeudi 14 juillet 2016.
Aussi, 44% d’enfants souffrant de la faim chronique en zone de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) sont au Cameroun. Et la situation ce serait corsée avec les déplacés internes et les réfugiés dans les Régions de l’Est et de l’Extrême-Nord. Tout ceci est la résultante des attaques armées du groupe extrémiste Boko Haram.
Face à cette situation qui va en s’accroissant, il est question pour le Cameroun de revoir ses objectifs de politiques pour qu’elles soient arrimées aux Objectifs de Développement Durable (ODD), estime le journal. En effet, le constat qui se dégage est que les politiques actuellement appliquées dans la sécurité alimentaire ne sont plus adaptées, remarque Guy-Ronel Guemaleu, sous-directeur de la coopération multilatérale au MINEPAT.
Lors de l’atelier de consultation tenu à ce sujet le 7 juillet dernier à Bamenda, il était «question d’améliorer la politique en matière de sécurité alimentaire et nutrition au Cameroun», a indiqué Elvira Pruscini, adjoint au Country Director du PAM au Cameroun. L’occasion au cours de cet atelier pour le Gouverneur Adolphe Lele Lafrique Deben Tchoffo d’inviter les participants à apporter des propositions concrètes qui vont servir de carnet de bord pour la mise en œuvre de stratégies appropriées pour combattre l’expansion du fléau.
Et comme l’a si bien rappelé Elvira Pruscini, «il faut faire le monitoring de son implémentation afin d’aboutir à un plaidoyer visant à l’amélioration de la sécurité alimentaire au Cameroun». L’objectif à terme étant de réduire à Zéro, à l’horizon 2030, la faim au Cameroun.
Aussi, 44% d’enfants souffrant de la faim chronique en zone de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) sont au Cameroun. Et la situation ce serait corsée avec les déplacés internes et les réfugiés dans les Régions de l’Est et de l’Extrême-Nord. Tout ceci est la résultante des attaques armées du groupe extrémiste Boko Haram.
Face à cette situation qui va en s’accroissant, il est question pour le Cameroun de revoir ses objectifs de politiques pour qu’elles soient arrimées aux Objectifs de Développement Durable (ODD), estime le journal. En effet, le constat qui se dégage est que les politiques actuellement appliquées dans la sécurité alimentaire ne sont plus adaptées, remarque Guy-Ronel Guemaleu, sous-directeur de la coopération multilatérale au MINEPAT.
Lors de l’atelier de consultation tenu à ce sujet le 7 juillet dernier à Bamenda, il était «question d’améliorer la politique en matière de sécurité alimentaire et nutrition au Cameroun», a indiqué Elvira Pruscini, adjoint au Country Director du PAM au Cameroun. L’occasion au cours de cet atelier pour le Gouverneur Adolphe Lele Lafrique Deben Tchoffo d’inviter les participants à apporter des propositions concrètes qui vont servir de carnet de bord pour la mise en œuvre de stratégies appropriées pour combattre l’expansion du fléau.
Et comme l’a si bien rappelé Elvira Pruscini, «il faut faire le monitoring de son implémentation afin d’aboutir à un plaidoyer visant à l’amélioration de la sécurité alimentaire au Cameroun». L’objectif à terme étant de réduire à Zéro, à l’horizon 2030, la faim au Cameroun.
