
Mais pour les opposants congolais, qui dit dialogue, dit aussi libération de ceux qu'ils considèrent comme des prisonniers politiques comme l'explique à RFI, Clément Mierassa.
Parmi les personnalités considérées par l'opposition comme des prisonniers politiques, Jean-Marie Michel Mokoko bien sûr mais également plusieurs de ses proches, Anatole Limbogo-Ngoka son ancien coordonnateur de campagne, ou encore Paulin Makaya condamné en juillet à deux ans de prison. Rappellons que Jean-marie Michel Mokoko en prison depuis le 16 juin, est poursuivi pour atteinte à la sûreté nationale et détention d'armes de guerre.