Il s'agit cette fois d'un article paru le 17 juin 2020 dans La Lettre du Continent qui publie depuis des années des articles exclusivement à charge contre la Guinée Equatoriale et ce, sans jamais recueillir la version des autorités.
Dans sa dernière édition, La Lettre du Continent traite de la cession des actifs d'Exxon Mobil au sein du champs pétrolier de Zafiro.
La publication affirme sans l'ombre d'une preuve que la société Trident Energy a été écartée en 2019 par le Vice-Président de Guinée Equatoriale en raison de la nationalité française de l'un de ses dirigeants. Pour La Lettre du Continent, SEM. Teodoro Nguema OBIANG MANGUE se serait ainsi vengé de sa condamnation en France dans le dossier dit des Biens mal acquis !
L'Ambassade de la République de Guinée Equatoriale dément avec la plus grande fermeté ce tissu de mensonges et rappelle ce que tous les (vrais) experts pétroliers savent : le Vice-Président de Guinée Equatoriale n'intervient pas dans les dossiers pétroliers et gaziers.
Sous-entendre que des sociétés françaises seraient pénalisées en Guinée Equatoriale est un non sens absolu. Le nombre d'entreprises françaises implantées dans le pays en est la preuve : Total, Sogea-Satom, Bouygues Bâtiment, Razel-Bec, Accor...
Il n'échappe à personne que depuis la fin, en France, des dossiers judiciaires contre le Vice-Président, la confrérie des Biens Mal Acqauis est en mal d'arguments pour continuer de parasiter les relations diplomatiques et économiques entre la France et la Guinée Equatoriale.