Ces révélations interviennent alors qu’en juin dernier, des militaires de la mission onusienne en Centrafrique (Minusca) avaient été accusés de viol sur des enfants de rue à Bangui. A ce jour, l’origine de ce contingent est demeurée inconnue. Deux mois plus tôt, quatre soldats français avaient été également accusés de viol sur mineur. Une recrudescence du phénomène qui laisse dubitatif quant aux mobiles de tels actes.
D’après un communiqué de l’Onu, des membres de l’Unicef ont rencontré les quatre fillettes, victimes présumées. Ces fillettes ont reçu des soins médicaux et leurs besoins psychosociaux ont été évalués. Elles ont également reçu des vêtements, des chaussures et des kits d’hygiène.