En Afrique, il y a un manque réel de volonté politique vis-à-vis de cette énergie qui peut fournir aux Africains l’énergie et les créations d’emplois pour les jeunes avec les nouvelles technologies.
L’indépendance énergétique est un défi majeur pour l’Afrique. Cette dernière ne doit plus dépendre des pays producteurs de pétrole du fait qu’eux-mêmes essayent de se tourner vers cette énergie renouvelable et propre.
Et cette énergie ne doit pas être ignorée en Afrique, car elle résoudrait plusieurs problèmes qui durent depuis des années. Avec l’exemple du Sénégal, un pays ensoleillé douez mois durant, les autorités étatiques continuent de donner de l’électricité aux populations. Ils devraient vendre les produits de la SENELEC aux industriels. Ainsi chaque maison sera autonome. Et puis y aura une unité de production et de nouveau technicien pour l’installation (création d’emplois).
Et cela est au profit des pays arabes et des puissances occidentales qui leur vendent des produits à des prix faramineux.
Dans tous les secteurs et structures de la vie économique et sociale, on utilise l’énergie fossile. Alors que l’Afrique peut prendre entièrement en charge ses besoins énergétique tout en se tournant vers l’énergie renouvelable, du moment qu’elle fait partie des zones les plus ensoleillées de la planète.
Par ailleurs, cette énergie solaire propre et gratuite, peut parvenir à la prospérité sociale et économique, renforcer l’accès à des sources d’énergie moins coûteuses et plus fiables.
Les pays africains doivent faire preuve de créativité, le soleil est gratuit est inépuisable.
Et puis il faudrait qu’une bonne partie de ces ressources viennent dans un premiers temps de partenaires extérieures, bien que les gouvernants africains redoublent actuellement d’efforts en vue de mobiliser davantage de ressources de ressources internes.
Le soleil est notre bonne étoile ! C’est notre grand pourvoyeur d’énergie sur Terre. L’Afrique détient sa propre clé de développement.
La bonne répartition et l’usage destiné à l’énergie ainsi produite est, une fois de plus, entre les mains des décideurs politiques.
Adama Gueye