Ce dernier ne sait-il pas que le siège des Nations Unies bien que se trouvant sur le territoire américain ne répond pas de la législation américaine. De ce fait, le représentant d’un Etat allant pour une intervention dans cette institution internationale n’a pas besoin de visas ; de plus son pays étant un Etat membre.
Pour qu’un Etat membre soit mis aux bans des Nations Unies cela se passe par une résolution du Conseil de Sécurité. A ce moment, ce pays ne peut même pas envisager une irruption au sein de l’organisation. Or l’on sait que la Guinée Equatoriale n’est pas mis à l’index pour quoi que ce soit. Bien au contraire, ce pays, qui entretien de très bonne relation avec les Etats-Unis et d’autres puissances internationales, du fait de son dynamisme actuel, est très bien coté auprès de nombre de ces pays qui y mènent harmonieusement leurs affaires. Pour étayer cela, les pays ACP viennent de décerner une reconnaissance au Président Obiang Nguema pour le travail abattu en Guinée Equatoriale ces dix dernières décennies. Un prix qui lui sera remis officiellement au mois de Novembre prochain. Toute chose qui montre que la Guinée Equatoriale est dans de bonnes dispositions actuellement dans le concert des Nations.
Il n’est donc pas à exclure que la prestation de Nguema Obiang la semaine prochaine sera suivie avec une attention particulière. Car ce pays, qui reste le plus stable de la sous région d’Afrique centrale, est le plus propice aujourd’hui à offrir un climat des affaires. Par ailleurs, son statut de pays stable l’ouvre à jouer un rôle de médiation dans la pacification de la sous région. De plus c’est une grande première aussi, le fait que le Président de la Guinée Eqiuatoriale ne se présente pas lui même mais un de ses Vice-présidents. Un fait inédit dans l’histoire de ce pays.
El confidential aurait gagné non seulement à vérifier ses informations avant de les donner, mais surtout à faire montre de circonspection lorsqu’on aborde un domaine aussi sensible que les relations internationales. Mais prisonnier de sa haine, véhiculer des informations erronées et vilipender le régime d’Obiang Nguema sont devenus pour lui une obsession.
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