
Dans son message de vœu au Président OBIANG en date du 10 octobre 2022 pour le 54-ème anniversaire de l’indépendance de la Guinée Equatoriale, le CUEPA avait écrit, en anticipation de l’éminente et imminente élection présidentielle : « En cette solennité du 54-ème anniversaire de l’indépendance de la Guinée Equatoriale, qui est devenue sous l’impulsion de son guide panafricaniste le Président Teodoro OBIANG NGUEMA MBASOGO, un modèle pour toute l’Afrique de la bonne gouvernance des ressources nationales au service du développement économique et social de la nation et de la croissance du bien-être de son peuple, comme l’était la Libye sous l’impulsion de son guide panafricaniste le Président Mouammar KADHAFI, et dans l’imminence des éminentes élections du 20 novembre 2022, le voeu le plus cher à leurs coeurs que les membres du Conseil des Universitaires et Experts Panafricains (CUEPA) formulent pour la Guinée Equatoriale et pour toute l’Afrique est que ce modèle de la bonne gouvernance au service de la nation, du peuple et de toute l’Afrique soit consolidé et amélioré en permanence dans la nouvelle ère pour la Guinée Equatoriale et pour toute l’Afrique inaugurée par la célébration du 54-ème anniversaire de l’indépendance de la Guinée Equatoriale ».
Les exemples concrets et emblématiques de cette “bonne gouvernance de la Guinée Equatoriale sous l’impulsion de son guide panafricaniste le Président OBIANG”, qui complètent et illustrent avec éloquence la présentation officielle du programme du candidat du PDGE à sa réelection, ont été mis en valeur dans l’article pulié par le CUEPA le 16 novembre 2021 dans LAOTRAVOZ.INFO sous le titre “les fake news et la mauvaise foi du Monde Diplomatique sur la Guinée Equatoriale”, en réponse à un article de ce journal français dans son numéro de novembre 2021. Dans son article cité, le CUEPA a écrit ces reflexions panafricaines d’une actualité brûlante à la veille de l’élection présidentielle du 20 novembre 2022 en Gguinée Equatoriale :
« Ces prouesses économiques et sociales de la Guinée Equatoriale sous l’impulsion du Président Obiang sont couronnées, d’une part par la gratuité de l’eau courante et de l’école publique en Guinée Equatoriale, ce qui semble être un cas unique en Afrique et peut-être même dans le monde, et d’autre part par le second rang en Afrique après le Maroc occupé par la Guinée Equatoriale, dans le classement des pays selon le montant du SMIG (Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti). C’est ce que précise en les termes suivant l’article « SMIG en Afrique : Quels sont les pays qui paient le mieux ? », en date du 7 février 2020 (https://talent2africa.com/smig-en-afrique/) : « Une analyse comparative des différents SMIG proposés dans les pays africains, permet d’affirmer sans risque d’erreur, que le Maroc est en tête de liste des pays d’Afrique en matière de salaire minimum.
Il a élevé la barre à 137.095 FCFA, soit la rémunération minimale la plus élevée. Ainsi, sur une échelle de 1 à 18 pays, le Maroc se classe en première position en matière de rémunération minimale salariale fixée par les États africains. Ainsi, au royaume chérifien, la dernière revalorisation du SMIG intervenue le 1er juillet 2014 a fait progresser le salaire minimum de 10%, élevant ainsi le SIMG du pays à 209 €. D’autres pays comme la Guinée-équatoriale et l’Algérie viennent occuper une bonne place dans ce classement, complétant ainsi le top 3 des plus gros salaires minimums en Afrique francophone. En Guinée-équatoriale, de 90.000 FCFA en 2002, le SMIG est désormais à 128.000 FCFA (195 €) et de 93. 258 FCFA à l112 000 FCFA (171 €) en Algérie ».
Ces donnés économiques prouvent qu’en matière de redistribution des richesses créées par les activités économiques et en matière de pouvoir d’achat, la Guinée Equatoriale fait mieux qu’un pays comme l’Algérie, qui revendique d’être « socialiste » et qui dispose d’une « manne pétrolière et gazière » beaucoup plus importante que la Guinée Equatoriale. En effet, d’après les données de production de pétrole brut en octobre 2021, l’Algérie est le quatrième producteur africain de pétrole brut, derrière la Libye, le Nigeria, et l’Angola, tandis que la Guinée Equatoriale n’occupe que le dixième rang, après l’Egypte, le Congo Brazzaville, le Ghana, le Gabon, et le Tchad (https://fr.tradingeconomics.com/country-list/crude-oil-production?continent=africa). De plus, d’après les données de production du gaz naturel fournies par CIA World Factbook en janvier 2020 (https://www.indexmundi.com/map/?v=136&l=fr), l’Algérie est le premier producteur africain de gaz naturel, et la Guinée Equatoriale n’est que le quatrième producteur africain de gaz naturel, après l’Algérie, l’Egypte et le Nigeria.
Toutes les donnés économiques citées sur le SMIG et les productions de pétrole brut et de gaz naturel prouvent que les performances économiques et sociales indéniables de la Guinée Equatoriale sous la direction du Président Obiang ne sont pas dues uniquement à « la manne pétrolière et gazière », dont la Guinée Equatoriale ne bénéficie actuellement depuis 1980 que des 20 %, et dont les 80 % enrichissent les compagnies étrangères qui exploitent le pétrole brut et le gaz équato-guinéen. Ces données économiques prouvent que ces performances sont dues à la « bonne gouvernance » de « la manne pétrolière et gazière » de la Guinée Equatoriale, au profit de « la croissance du bien-être de tous les citoyens équato-guinéens », en particulier des plus pauvres.
Cette « bonne gouvernance » par le Président Obiang de « la manne pétrolière et gazière » de la Guinée Equatoriale, qui peut certes être améliorée, honore déjà à son stade actuel le concept originel de « bonne gouvernance », qui n’est pas d’origine occidentale comme on le pense à tord le plus souvent, mais est d’origine africaine et date de près de quatre millénaires, et qui a été formulée pour la première fois dans le conseil suivant du Pharaon Amenemhat 1er, qui régna de 1939 à 1909 avant JC, à son fils le Pharaon Sésostris 1er, définissant clairement ainsi « l’essence de la bonne gouvernance », qui est « la croissance du bien-être des citoyens » : « écoute bien ce que je vais te dire, pour bien gouverner et accroître le bien-être de tes citoyens ». »
Le bilan des mandats présidentiels du candidat du PDGE à l’élection présidentielle du 20 novembre 2022 ne brille pas seulement par « la bonne gouvernance des ressources nationales au service du développement économique et social de la nation et de la croissance du bien-être de son peuple », mais aussi par les « leçons magistrales de démocraties » du Président OBIANG NGUEMA MBASOGO aux plus grandes et anciennes démocraties du monde dont des journalistes ou des hommes politiques le qualifie par ignorance ou par mauvaise foi de « dictateur ». Au sujet de ces « leçons magistrales de démocratie », voici ce que le CUEPA a écrit dans son article cité en date du 16 novembre 2022 :
« En effet, est-ce que dans un pays qui revendique d’être un modèle de démocratie comme la France ou les Etats-Unis, un Président du pays a une seule fois nommé comme président de la Cour Constitutionnelle une personnalité qui n’est pas une de ses « personnes de confiance » qu’il veut remercier pour les « services rendus » ? Une telle nomination existe-elle à fortiori dans un pays africain autre que la Guinée Equatoriale sous le Président Obiang ? Son régime que le journaliste-idéologue du « Monde Diplomatique » qualifie de « dictature » a pourtant donné une belle leçon de « démocratie » à la « République Française », aux Etats-Unis d’Amérique, la plus ancienne démocratie actuelle du monde, et aux « Républiques africaines », en nommant comme Président de la Cour Constitutionnelle de la Guinée Equatoriale depuis le 18 septembre 2018 jusqu’à ce jour Firmin Nguema Esono, un juriste, ancien opposant virulent ayant écrit tout un livre pour dénigrer le régime du Président Obiang, sachant pourtant que « les paroles s’envolent, les écrits restent ».
Cette nomination d’un opposant politique à tel poste prestigieux ne fait que renforcer la leçon de démocratie qu’avait déjà donnée le Président Obiang en nommant dans ses gouvernements successifs depuis 1996 des opposants politiques, dont le plus emblématique est Alfonso Nsue Mokuy, président de la « Convention Libérale Démocratique CDL », et Vice-Premier Ministre chargé des droits de l’homme depuis le 21 mai 2012. »
C’est donc compte tenu de ce bilan élogieux des mandats antérieurs et en cours du candidat du PDGE à l’élection présidentielle du 20 novembre 2022, notamment en matière de démocratie et de « la bonne gouvernance des ressources nationales de la Guinée Equatoriale au service du développement économique et social de la nation équato-guinéenne et de la croissance du bien-être de son peuple », que le CUEPA, au nom des valeurs panafricaines si admirablement incarnées par le « Père du panafricanisme en action » et « Père de la Guinée Equatoriale Moderne », invite chaleureusement le peuple souverain équato-guinéen à voter massivement le 20 novembre 2022 en faveur du renouvellement du mandat du Président OBIANG NGUEMA MBASOGO, en vue du perfectionnement et de l’achèvement de son « œuvre d’édification de la Guinée Equatoriale Moderne », qui consiste à faire de la Guinée Equatoriale « le champion et le modèle panafricains de la bonne gouvernance économique et sociale et de la démocratie apaisée, stable et prospère ».
Pour le “Conseil des Universitaires et Experts Panafricains (CUEPA)”,
Le Président, Professeur Pascal Kossivi ADJAMAGBO,
Ingénieur de l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées de Paris,
Docteur d’état et Agrégé en mathématiques,
Enseignant-chercheur en mathématiques et économie à SORBONNE UNIVERSITE à Paris