L’Examen périodique universel (EPU) a été établi par la résolution 60/251 de l’Assemblée générale des Nations Unies, résolution adoptée le 15 mars 2006 et qui est à l’origine de la création du Conseil des droits de l’homme. Ce processus, basé sur la coopération, a permis à fin octobre 2011, d’examiner la situation des droits de l’homme des 193 Etats membres de l'ONU.
Aucun autre mécanisme universel de ce type n’existe à l’heure actuelle. L’EPU est un des piliers sur lequel s’appuie le Conseil : il rappelle aux Etats leur responsabilité de respecter pleinement et de mettre en œuvre tous les droits de l’homme et libertés fondamentales. L’objectif ultime de l’EPU est d’améliorer la situation des droits de l’homme dans tous les pays et de traiter des violations des droits de l’homme, où qu’elles se produisent.
Ce Examen périodique universel a eu lieu ce mois de mai, du 6 au 17 /2019 à Genève en Suisse.
C'est dans ce cadre qu'une délégation équato-guinéenne, conduite par le Vice-Premier ministre chargé des droits de l'homme, Alfonso Nsue Mokuy, qui est accompagné par l'ambassadeur plénipotentiaire de la République de Guinée équatoriale auprès de la Confédération suisse et représentant permanent au Bureau de l'ONU et d'autres organismes internationaux, S.E Lázaro Ekua Avomo,ainsi que du directeur général des Droits de l'homme, Manuel Mba Nchama,se trouve depuis le 06 mai à Genève en Suisse, pour présenter le rapport de la G.E devant le groupe de travail composé de tous les Etats membres de l'Onu.
Ce rapport a été présenté, le 13 mai de manière détaillée, des actions menées en matière de promotion et de protection des droits de l'homme en République de Guinée Equatoriale.Le groupe de travail a évalué avec succès, le 16 mai dernier ,ce rapport de la Guinée équatoriale à l'aune des différents engagements internationaux du pays en matière de droits de l'homme et de droit international humanitaire.
La rédaction(Laotravoz.info)