
Nous disons l’objet de toutes les attaques parce que certains notamment des officines s’en sont servis comme punching ball ! A qui l’on peut donner tous les coups. IL a suffit que certains aigris s’offusquent de ce qu’un officiel de leur pays, bien pris en charge par son état, vu ses fonctions, pour l’accuser de tous les maux de la terre.
Nous nous souvenons d’une autre personnalité qui n’était pas encore en fonction, elle aussi fils de Chef d’Etat, qui avait déclaré sur une chaîne publique française, France24, « qu’il n’interdisait à personne de rouler en FERRARRI ». Mais aucun média n’en a fait les choux gras. Aucun juge zélé ni avocaillon de SHERPA n’était sorti du bois pour crier aux biens mal acquis ou encore aller fouiner dans ses garages pour saisir, confisquer et vendre les voitures FERRARRI en question. Mais il a suffit que le fils du Président Obiang Nguema Mbasogo traverse les champs Elysées dans une voiture de sport pour que les soi disant juge et avocaillon de SHERPA sous solde se mettent à bourdonner pour se ruer plus tard dans ses garages piquer les voitures, et son logement de fonction, tout ramasser jusqu’à la moindre petite vaisselle, la vendre aux enchères sans jamais dire ce qu’ils avaient fait de cet argent.
ON sait que de nombreuses personnes, elles, en infraction en France, se comportent ici comme sur des territoires conquis et qu’en retour la France officielle répond par une obséquiosité sans limite jusqu’à descendre dans ces pays leur lécher la main comme des…toutous bien sages. Pourquoi ces avocats n’attaquent-ils pas ces princes venus des confins sablonneux malgré leurs exactions, sur le sol français ? Nous apprenons que des étages entiers des hôtels sont loués et inaccessibles même à certains personnels des hôtels jugés souillés au non d’une certaine religiosité ; cette discrimination se passe dans la France des SHERPA qui s’en détourne par lâcheté, préférant s’accrocher à prétendument rendre une pseudo équité aux petits africains.
Voilà pourquoi il est juste aujourd’hui de mettre en garde ces derniers et leur dire que le peuple Equato-Guinéen ne se laissera pas faire et fera prévaloir sa souveraineté à tout moment. Dans cet ordre des choses, espérer que son Deuxième Vice-Président se présentera dans un tribunal français est une vaine espérance de l’abeille de SHERPA. Son bourdon saturera ses seules oreilles et celles de ses ouailles.