Bourdon est lui même impliqué aujourd’hui dans des complicités avec des dissidents Equato-Guinéens dont l’objet est de déstabiliser les institutions en Guinée Equatoriale. Il s’est rendu complice lorsqu’il a contribué à les aider à monter la « Coalition Cored », afin de capter des fonds issus des ventes des biens qui avaient été saisis et mis en vente par le juge Leloire. Il s’est rendu complice parce que c’est dans des locaux de Sherpa sur le boulevard Haussmann que cette association a été montée et qu’une certaine liste tendant à attribuer des morts d’homme au régime du Président Obiang Nguema Mbasogo. Mal leur en a pris car il n’avait pas compris qu’il travaillait avec des repris de justice pour les uns et pour d’autres en fuite pour délits divers.
Bourdon dans son intervention déploie arrogance et dénigrement à l’endroit d’un officiel Equato-Guinéen. Cette attitude montre à suffisance sa haine qui s’écarte des motifs du Droit. A l’entendre, il montre que cette affaire est tirée par les cheveux. Si la loi française autorise de poursuivre des étrangers qui ont commis des délits dans leur pays, on est curieux de connaître quel délit Teodorin Nguema Obiang Mangue a commis en Guinée Equatoriale et quel officier de police ou juge d’instruction y a enquêté pour qualifier les faits délictueux ? Bourdon n’est même pas sûr de lui lorsqu’il dit qu’« il y a des biens qui sont suspectés d’avoir été acquis par des moyens illicites ». A-t-on bien entendu le mot « suspectés » ? C’est donc clair qu’on est devant aucune certitude et qu’au stade actuel des choses rien n’est formellement établi.
En réalité Bourdon est dans une vaste opération de communication autour de cette affaire couplée de discrimination raciale et de la volonté de nuire. Mais il n’est pas à l’abri d’une plainte pour association de malfaiteurs. On s’enivrera.
Nous y reviendrons
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