La véritable information est qu’un professeur de philosophie s’amusait à échanger de bonnes notes moyennant 2000 FCFA. Ce qui est un délit aux yeux de la loi. A ce titre, il est passible de sanction. Et cela ne s’est d’ailleurs pas fait attendre, puisque des élèves ont dénoncé la manœuvre. Et suite à cela, ce dernier a été traduit devant le responsable de l’établissement. Nous savons et Marugan sait aussi que ce genre de délit est récurrent dans plusieurs pays du monde et pas seulement en Guinée Equatoriale.
Par ailleurs, ce n’est pas parce que l’un d’eux a fait une déclaration, du reste très contestable, en parlant des salaires bas, que cela est une raison d’exercer une activité frauduleuse au sein de l’établissement. En plus, à supposer que certains ont un salaire de 150 000 FCFA, cela n’est pour autant pas une généralité. Aussi, Marugan, « el communista estalinista oscuro e mediocre » ne fait là qu’accomplir son œuvre de division. C’est pour cela qu’il a vendu dignité et honneur.
Un autre fait qui prouve qu’ASODEGUE et ses plumitifs font un procès en faux avec une volonté manifeste de nuire est la manière dont il généralise cette affaire. Ont-ils passé au crible les états de salaire des enseignants de Guinée-Equatoriale pour répandre cette affaire de la sorte ?
Mais là où Marugan montre véritablement que son but c’est la nuisance, c’est lorsqu’il passe d’une affaire de fraude scolaire pour la lier à la situation des prestations sociales dans ce pays. Où est le rapport ? Et qu’est-ce que les problèmes d’alimentation électrique ont à voir avec un problème scolaire ? encore que les coupures intempestives dont il parle sont encore un autre mensonge. Toute chose qui dévoile un peu plus le côté « oscuro e mediocre » d’el communista estalinista Adolfo Marugan.