Le PDGE dénonce et dément ces grossiers mensonges. Une audience judiciaire dans le dossier dit des Biens mal acquis a bien lieu le 13 février à Paris mais c'est simplement une audience dite de fixation. Son but est de fixer une date ultérieure pour ledit procès.
Le PDGE informe également l'opinion publique que, contrairement à ce qu'elle prétend, la Cored n'est pas partie civile dans la procédure judiciaire dite des Biens mal acquis.
Les mensonges d'une Cored aux abois, dont plusieurs de ces membres font l'objet d'un mandat d'arrêt en relation avec la tentative de coup d'Etat de décembre 2017, ne doivent duper personne. Leur objectif est de manipuler et de semer le trouble en Guinée Equatoriale.
Service de Presse du PDGE