
Le stratagème est simple. Mocache détient une information sur vous. Il vous fait contacter par un de ses nombreux hommes de paille. En échange du silence : l’argent. Sinon l’article est publié. La personne pour se protéger, remet quelques centaines d’euros et l’article est mis de côté. Ainsi Mocache a son obole. Ceci s’appelle de la corruption. Mocache est donc un corrompu sans éthique. On comprend dès lors l’acharnement sur le régime du Président Obiang Nguema Mbasogo, car pour rien au monde celui-ci ne descendra jamais jusqu’à proposer de l’argent à Mocache. Et il le sait.
Cette pratique est parfaitement contre l’éthique journalistique. Reste à savoir si Mocache en est un. En réalité il ne l’est même pas. Des sources proches du personnage, l’on apprend qu’il est en ménage avec une journaliste qui, elle, a appris son métier. Sauf qu’elle le galvaude en mettant sa plume et son savoir-faire au service d’un corrompu dont elle se fait la complice. Quelle honte !
En réalité, l’histoire académique de Mocache manque d’éloges. Après avoir obtenu une bourse d’étude pour l’Espagne, le bon monsieur a été emporté par les joies espagnoles oubliant les bancs des amphithéâtres. Au bout des comptes, il n’a aligné qu’un échec cuisant et le recalage. Plein de honte Mocache s’est improvisé dans la dissidence ne pouvant revenir au pays sans parchemin.
Comme beaucoup de ses autres compatriotes qui s’affublent du costume d’opposant pour bénéficier du statut de réfugié politique, il a embrassé la même route facile dont le seul crédo est : agresser verbalement et gratuitement le régime du Président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Ce sont là les classes de cet homme qui donne des leçons alors que c’est lui qui devrait en recevoir. Lui, l’homme des basses besognes financières.