Il y a certes en Guinée Équatoriale des hommes se réclamant appartenir à un parti politique dans les geôles de la prison . Ils n’y sont pas pour des raisons politiques mais pour avoir justement commis des infractions pénales de droit commun pour atteinte à l’ordre public et incitation à la haine et la violence , ainsi que des agressions physiques graves sur les forces de l’ordre.
Et Dans un État souverain comme la Guinée Équatoriale nul n’est au dessus de la loi . Ces actes de barbarie ne sauraient être assimilés à des règlements de compte ! Vu sous cet angle, les propos du Président de la Guinée Équatoriale tiennent la route .Seuls les voyous et alliés de ces individus s’offusquent de ce qui parait tellement évident aux yeux de tous .
Les peines qui leur ont été infligées proviennent des décisions de justice rendues par des instances judiciaires compétentes, assortis de nombreux procès , avec épuisement de toutes les voies de recours jusqu’au verdict final .
Au cours justement de ces différents procès , L’Etat a tenu à rappeler que l’exercice des droits que confère les lois régissant l’activité politique par ailleurs devait se circonscrire au cadre limitée par celle-ci et ne saurait justifier des dérapages et des excès dans leurs agissements. Quand on sait que le code pénal ne leur accorde aucune protection. En cas d’infractions graves ils sont jugés comme tout citoyen.
De ce fait,le tohu-bohu initié par certains médias, amis des opposants en exil est ridicule ! Ils devraient plutôt se remettre en question et conscientiser certains hommes politiques sur leurs agissements. Afin qu’ils ne se retrouvent pas « au village de si je savais » . Pour des opposants qui sont dans la dénonciation permanente, commencez à montrer l’exemple !
Pamela Abeso