En lisant cet article puisé certainement d’un journal espagnol, il ne ressort aucune implication de ce citoyen lambda appelé « Obiang ». C’est plutôt une histoire épique sur le couple russe sans grande démonstration. L’on se demande en quoi les affaires de « Kokorev » sont-elles celles d’un Monsieur que El Confidencial désigne par ce patronyme « Obiang » ? Et en quoi cela intéresse-t-il vraiment ? Que « d’Obiang » il y a en Guinée-Equatorial !
Tout à coup El Confidencial apprend à ses rares lecteurs que « L’Obiang » en question a un fils qui s’appelle « Gabriel » sans détail ni sur son patronyme ni sur sa nationalité. Est-il Equato-Guinéen ou bien Camerounais, Gabonais, Congolais, ou d’une autre nationalité ? Car des « Gabriel » venant de divers horizons peuplent la Guinée-Equatoriale.
On est à se demander ce que El Confidencial veut apprendre aux lecteurs. Tout à coup on lit vers la fin de cette copie insipide que cet Obiang est président et qu’avec son fils, le « Gabriel » en question et un ancien ministre des Finances, « Melchor Esono Edjo » étaient signataires d’un compte ouvert dans les cahiers de la Riggs Bank aux USA et qui était créditeur de 700 Millions de dollars. El Confidenial ne dit pas de quoi « L’Obiang » dont il parle est président.
Président d’association ? du Club de Football « Las Palmas » ? d’un aéro-Club ? d’une société ? Et puis si ce président signe de son nom avec son fils et un ministre un compte bancaire, de surcroît aux USA où on connaît les exigences de transparence, cela veut clairement dire qu’ils n’ont rien à cacher ni à se reprocher. Où El Confidencial voit-il qu’il y a un problème ?
On comprend très bien que « El Confidencial » n’a plus rien de très « Confidencial » à révéler à ses lecteurs.
Lien de l'article en question Cliquez ici