La misère intellectuelle et morale qu’étale cet escroc déchu, devrait susciter mépris, pitié, et contemption chez ceux qui, un beau matin, avait cru que cet anarchiste doublé d’un roublard pouvait accomplir la mission qui lui avait été confiée de fédérer et mettre en action l’opposition Equato-guinéenne en exil. Marugan est encore plus navrant en essayant de faire remonter une barque trouée dans le sens contraire du courant. Espère-t-il retrouver les faveurs perdues depuis ? Malheureusement il en est là.
C’est ce qui justifie son acharnement haineux envers les dirigeants et la classe politique de la Guinée-Equatoriale. C’est cette illusion de retrouver les paradis financiers perdus qui le pousse à débiter des insanités contre ce régime.
Mais Marugan, en voulant plaire au consortium de déstabilisation de la Guinée-Equatoriale, incarné par les régimes Aznar et ses successeurs dans cette vaine entreprise, oublie que même ses soutiens d’hier sont conscients que le visage actuel de la Guinée Equatoriale n’est pas le produit des contributions de son pays l’Espagne. Pays qui a outrancièrement exploité le peuple Equato- guinéen, et ses ressources forestières et agricoles pendant deux siècles (200 ans) sans y laisser une infrastructure minimale.
Pas de routes, pas d’écoles ni université et donc pas de formateurs; aucune industrie. Pas d’électrification ni adduction d'eau potable. Pas d’habitats avec des logements pour abriter les Equato-guinéens. Aucun professeur; pas d’ingénierie dans les secteurs professionnels indispensables ; inexistence d’hôpitaux modernes ni médecins pour en assurer le fonctionnement ; ne parlons pas des cadres de l'administration ou pour la gestion de l’économie.
Dans une interview le président Obiang Nguema Mbasogo a exprimé ce vide de la manière suivante dans une interview : « le peu d’infrastructures laissées par les colons n’étaient pas entretenues. C’est bien simple : le pays n’avait ni eau, ni électricité, les écoles étaient fermées, les hôpitaux ne fonctionnaient pas normalement et le peuple était plongé dans la misère. »
Ce que le colon espagnol a laissé c'est un pays soumis au sous-développement total en comparaison à ses voisins ou les colons ont malgré des insuffisances, légué des pays avec des infrastructures qui leur ont permis d’amorcer le progrès de leurs Etats.
Il faut en effet rappeler aux véreuses personnes de la trempe de Marugan le passé. A savoir que tout ce qui existait en Guinée-Equatoriale comme confort était destiné aux colons. Il a fallu attendre l’arrivée d’Obiang Nguema Mbasogo pour renverser cette situation. Dans la même interview il poursuit : « Après cette époque, notamment après la révolution nous nous sommes engagés à construire le pays. Ceci, à travers le programme économique développé par le gouvernement. Ce programme a été adapté et adopté au cours d’une conférence économique. Nous sommes donc en train de travailler pour faire émerger la Guinée équatoriale d’ici à 2020. Je pense que nous sommes en train d’atteindre les objectifs de ce programme. Aujourd’hui si vous jetez un regard, une grande partie du pays a été désenclavée. En Guinée équatoriale, presque toutes les routes sont goudronnées. » Donc Marugan Adolfo Fernandez doit fermer sa bouche.
C’est pourquoi il doit comprendre que la période des vaches-grâce est finie. Il doit arrêter de caresser l’espoir de retrouver sa fortune en redevenant le gérant des fonds alloués à l'opposition Equato-guinéenne en Espagne pour des opérations
de déstabilisation du régime.
En plus, l’escroc international doit comprendre que s’il existe au monde un pays et des citoyens qui n’ont pas l’autorité morale de critiquer le gouvernement deG Obiang Nguema Mbasogo, c’est bien l’Espagne et ses citoyens. Car pendant 30 ans ils n’ont cherché qu’à bloquer le développement de la Guinée-Equatoriale. Il serait intéressant que Marugan indique dans son site une seule réalisation de l’Espagne, son pays, en Guinée-Equatoriale au cours ces quarante dernières années.