De façon régulière le FMI organise un suivi de la situation économique de chaque sous-région et pays par pays. A ce que l’on croit savoir, la disponibilité de la Guinée-Equatoriale par rapport à ce round du FMI est plutôt appréciée, à la différence de certains de ses voisins où l’institution de Brettonwoods peine à établir un bilan fiable.
Si ASODEGUE voit une situation alarmante dans l’annonce d’une augmentation du déficit impactant le PIB de 10% au courant de cette année, la feuille de chou de Marugan, loin de maîtriser ces questions, ne pouvait pas se rendre compte que cette baisse s’établit dans le cadre général de la crise économique sous régionale et mondiale. Si l’impact sur le PIB ne sera que de 2,6 points en Guinée Equatoriale, ailleurs dans la sous région d’Afrique centrale et au delà, elle est de l’ordre de plus de 10 points.
Malgré ces perturbations, l’avenir s’annonce tout de même en rose, et dans sa dépêche, copiée par ASODEGUE, l’agence LUSA sa nouvelle source, mentionne une embellie d’ici 2018. Cela ne sera que le résultat de la politique de diversification qu’impulse à l’heure actuelle le président de la Guinée-Equatoriale Obiang Nguema Mbasogo.
En réalité, ASODEGUE et son agence LUSA ont manqué à un devoir : saluer les performances de la Guinée-Equatoriale qui continue d’être un bon élève dans la maîtrise globale de ses dépenses. A la différence de certains de ses pairs où la banqueroute est actée. C’est aussi cela le message d’encouragement du FMI.
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