L'accueil
A son arrivée à Malabo de retour à Paris hier Mardi 17 Novembre, le président de la République s’est adressé à la presse à qui il a relaté les faits tels qu’il les a vécu.
« Nous sommes arrivés en France vendredi 13 novembre, pour présider la cérémonie de remise des prix UNESCO-Guinée équatoriale, qui avaient été accordés aux trois scientifiques élus cette année : un Indien, un Brésilien et un Sénégalais. Lorsque nous sommes arrivés dans la ville, nous avons eu connaissance des attaques. Pendant que nous étions en vol, les terroristes s’étaient emparés de plusieurs lieux de la ville et ont commencé à attaquer. Étant donné ces faits, nous n’avons pas pu rentrer, le corps de sécurité a dû nous escorter comme s’il s’agissait d’une évacuation. Nous avons pris un chemin sûr pour éviter les lieux où les attaques se produisaient, jusqu’à l’hôtel. Là-bas, nous avons reçu plus d’informations sur les faits ».
C’est après avoir recueilli les informations sur ce qui s’est passé que le lendemain le président Obiang Nguema Mbasogo va se retrouver avec la Directrice générale de l’UNESCO pour faire le point sur la situation. De commun accord avec cette dernière ils vont convenir de l’annulation de la cérémonie et de son report à une date ultérieure.
Le président Obiang Nguema a alors adressé ses condoléances au président français François Hollande, aux parents et amis des victimes, ainsi qu’au peuple français. Tout en leur marquant un soutien ferme dans cette épreuve. Une attitude dont il avait déjà instruit son gouvernement qui s’est déplacé conduit par le Premier ministre jusqu’à l’ambassade de France en Guinée Equatoriale le 16 Novembre.
Le président Obiang Nguema Mbasogo a saisi également cette opportunité devant la presse Equato-guinéenne de mobiliser l’équipe gouvernementale sur la menace du terrorisme. « « Nous ne sommes pas exclus de ces plans-là » a-t-il dit. Le terrorisme se repend à travers le monde à une grande vitesse : « c’est pour cela que je ne peux que demander aussi bien au gouvernement qu’aux organes constitutionnels ; aux forces de maintien de l’ordre et au peuple en général d’être vigilants et d’aider à éviter n’importe quel genre de situation comme celle que vit le peuple français »
Il a insisté en exhortant le peuple Equato-Guinéen à plus de vigilance.
« Nous sommes arrivés en France vendredi 13 novembre, pour présider la cérémonie de remise des prix UNESCO-Guinée équatoriale, qui avaient été accordés aux trois scientifiques élus cette année : un Indien, un Brésilien et un Sénégalais. Lorsque nous sommes arrivés dans la ville, nous avons eu connaissance des attaques. Pendant que nous étions en vol, les terroristes s’étaient emparés de plusieurs lieux de la ville et ont commencé à attaquer. Étant donné ces faits, nous n’avons pas pu rentrer, le corps de sécurité a dû nous escorter comme s’il s’agissait d’une évacuation. Nous avons pris un chemin sûr pour éviter les lieux où les attaques se produisaient, jusqu’à l’hôtel. Là-bas, nous avons reçu plus d’informations sur les faits ».
C’est après avoir recueilli les informations sur ce qui s’est passé que le lendemain le président Obiang Nguema Mbasogo va se retrouver avec la Directrice générale de l’UNESCO pour faire le point sur la situation. De commun accord avec cette dernière ils vont convenir de l’annulation de la cérémonie et de son report à une date ultérieure.
Le président Obiang Nguema a alors adressé ses condoléances au président français François Hollande, aux parents et amis des victimes, ainsi qu’au peuple français. Tout en leur marquant un soutien ferme dans cette épreuve. Une attitude dont il avait déjà instruit son gouvernement qui s’est déplacé conduit par le Premier ministre jusqu’à l’ambassade de France en Guinée Equatoriale le 16 Novembre.
Le président Obiang Nguema Mbasogo a saisi également cette opportunité devant la presse Equato-guinéenne de mobiliser l’équipe gouvernementale sur la menace du terrorisme. « « Nous ne sommes pas exclus de ces plans-là » a-t-il dit. Le terrorisme se repend à travers le monde à une grande vitesse : « c’est pour cela que je ne peux que demander aussi bien au gouvernement qu’aux organes constitutionnels ; aux forces de maintien de l’ordre et au peuple en général d’être vigilants et d’aider à éviter n’importe quel genre de situation comme celle que vit le peuple français »
Il a insisté en exhortant le peuple Equato-Guinéen à plus de vigilance.
