L'accueil
Depuis quelques jours, les dissidents Equato-Guinéens, conduits par Severo Moto séjournent à Paris pour, dit-on, préparer un grand coup. Ils ont ainsi pris leurs quartiers à Montparnasse où ils se sont fait remarquer à l’hôtel Pullman.
Ce qu’ils appellent un grand coup n’est rien d’autre qu’une manigance propagandiste de plus. Ce grand coup que Severo Macias Moto Nsa, l’ancien propagandiste du dictateur Macias Nguema Biyogo, et son acolyte Salomon Abeso préparent actuellement dans la capitale française est une nouvelle campagne mensongère dont le but est de faire obstruction au processus électoral envisagé en Guinée-Equatoriale à la fin de cette année. Pour cela, ils sont venus travailler avec leurs différents contacts. Une bataille politique ne se menant pas sans moyens, ils vont aussi profiter de ce séjour parisien pour trouver des financements.
Pour cela, les dissidents d’une CORED-PP fictive ont ourdi un plan macabre qui consistera à effectuer le montage de faux dossiers sur la pseudo liste des 310 qu’ils ont revu à la hausse depuis lors, d’une part ; et d’autre part sur les biens mal acquis dont ils ne se rendent toujours pas compte que c’est devenu une chanson souvent entendue. Puis aussi soulever le dossier des Droits de l’homme. Autour de ces affaires, aidés par les mêmes officines que sont Sherpa et Transparency, les dissidents du propagandiste Moto Nsa et lui-même compris devront se constituer partie civile dans l’attente d’un procès. Aussi apprend-on qu’ils s’offriront des services d’un groupe d’avocats Parisiens. Cette activité macabre est en cour depuis leur arrivée dans la capitale française.
Autre chose, Moto Nsa et Salomon Abeso, appuyés par des personnes parfaitement myopes et incapables de discerner sur la consistance de cette opposition égarée, on apprend que des contacts sont également pris avec des parlementaires. Le but est d’aboutir à susciter la mise en place d’une commission parlementaire sur les dossiers Equato-guinéens notamment cette liste mensongère, et sur les biens mal acquis.
Une question ne peut ne pas être posée : comment des officiels français, parlementaires, membres de cabinets, membres des partis politiques n’arrivent pas à jauger la représentativité réelle de cette opposition sur le terrain en Guinée-Equatoriale ? Que vaut-elle en terme de rapport de force ?
Sans finance, après avoir échoué sur la restitution des biens confisqués au 42 Avenue Foch qu’elle espérait, la CORED et ses soutiens parisiens dont William Bourdon, ont imaginé un autre stratagème : frapper aux portes des entreprises en litige avec la Guinée Equatoriale comme TOTAL et ORANGE. Severo Moto Nsa, ex propagandiste, et l’analphabète Salomon Abesso ont-ils reçu des garanties de leurs mentors parisiens que ces deux compagnies financeraient leurs activités ? William Bourdon a dû le leur siffloter aux oreilles.
Ce qu’ils appellent un grand coup n’est rien d’autre qu’une manigance propagandiste de plus. Ce grand coup que Severo Macias Moto Nsa, l’ancien propagandiste du dictateur Macias Nguema Biyogo, et son acolyte Salomon Abeso préparent actuellement dans la capitale française est une nouvelle campagne mensongère dont le but est de faire obstruction au processus électoral envisagé en Guinée-Equatoriale à la fin de cette année. Pour cela, ils sont venus travailler avec leurs différents contacts. Une bataille politique ne se menant pas sans moyens, ils vont aussi profiter de ce séjour parisien pour trouver des financements.
Pour cela, les dissidents d’une CORED-PP fictive ont ourdi un plan macabre qui consistera à effectuer le montage de faux dossiers sur la pseudo liste des 310 qu’ils ont revu à la hausse depuis lors, d’une part ; et d’autre part sur les biens mal acquis dont ils ne se rendent toujours pas compte que c’est devenu une chanson souvent entendue. Puis aussi soulever le dossier des Droits de l’homme. Autour de ces affaires, aidés par les mêmes officines que sont Sherpa et Transparency, les dissidents du propagandiste Moto Nsa et lui-même compris devront se constituer partie civile dans l’attente d’un procès. Aussi apprend-on qu’ils s’offriront des services d’un groupe d’avocats Parisiens. Cette activité macabre est en cour depuis leur arrivée dans la capitale française.
Autre chose, Moto Nsa et Salomon Abeso, appuyés par des personnes parfaitement myopes et incapables de discerner sur la consistance de cette opposition égarée, on apprend que des contacts sont également pris avec des parlementaires. Le but est d’aboutir à susciter la mise en place d’une commission parlementaire sur les dossiers Equato-guinéens notamment cette liste mensongère, et sur les biens mal acquis.
Une question ne peut ne pas être posée : comment des officiels français, parlementaires, membres de cabinets, membres des partis politiques n’arrivent pas à jauger la représentativité réelle de cette opposition sur le terrain en Guinée-Equatoriale ? Que vaut-elle en terme de rapport de force ?
Sans finance, après avoir échoué sur la restitution des biens confisqués au 42 Avenue Foch qu’elle espérait, la CORED et ses soutiens parisiens dont William Bourdon, ont imaginé un autre stratagème : frapper aux portes des entreprises en litige avec la Guinée Equatoriale comme TOTAL et ORANGE. Severo Moto Nsa, ex propagandiste, et l’analphabète Salomon Abesso ont-ils reçu des garanties de leurs mentors parisiens que ces deux compagnies financeraient leurs activités ? William Bourdon a dû le leur siffloter aux oreilles.
