L'accueil
« Désireux de maintenir les réussites obtenues jusqu’à présent et prêt à faire des progrès dans la voie du développement intégral dont les acteurs sont de plus en plus les propres Équato-guinéens ; (…) maintenir la paix, la liberté et la viabilité du processus réalisé pour une continuité qui permet un avenir excellent ; convaincus que le Frère Militant Obiang Nguema Mbasogo incarne la volonté du peuple et représente une continuité responsable pour le bien des générations présentes et futures, les acteurs du IIIe congrès national extraordinaire décident de réaffirmer la désignation du Frère Militant Obiang Nguema Mbasogo comme candidat aux prochaines élections présidentielles de l’année 2016 » Instant exceptionnel et d’émotion intense.
C’est le cœur rempli d’émotion que le président Obiang Nguema Mbasogo candidat à sa propre succession en 2016, a accueilli cette nouvelle. « Paralysé par l’émotion, j’accepte le résultat avec discipline, la discipline du parti. Je vous ai toujours indiqué ma disponibilité et parfois je vous dis qu’il vaut mieux un mal connu qu’un bonheur incertain. Vous me connaissez déjà très bien et je ne crois pas qu’à cette date j’ai changé mon caractère » Il saluera à son tour le choix historique car c’est un choix qui a été motivé par le besoin de poursuivre une paix durable axé sur la continuation du développement du pays. Obiang rappellera les propos de son discours d’ouverture en disant que la Guinée Equatoriale a changé et qu’elle n’est plus celle du 03 Août 1979. Ces changements se sont opérés au plan des infrastructures et du niveau de vie des Equato-Guinéens. Mais que toutes ces transformations ont été rendues possible avec la contribution de tous.
Le choix d’Obiang Nguema est surtout motivé par les accomplissements de cet homme. Il est le bâtisseur de la Guinée Equatoriale moderne. De camps de colons il en a fait des villes modernes. Cet élan de modernisation ne s’est pas seulement limité aux principales villes. Mais il l’a fait profiter à l’ensemble des zones de vie du pays. Dans un souci de faire une Guinée-Equatoriale uniforme sans clivage ni contrastes bouleversants tels qu’on en observe dans certains pays de la sous région. Comment ne pas accorder la confiance à cet homme ?
En plus d’être ce bâtisseur, il est le restaurateur de la dignité de l’Equato Guinéen. Du planton dans de nombreux pays de la sous-région, il a su amener l’Equato-Guinéen, d’abord à rentrer dans son pays, à se former et à améliorer son cadre de vie. Ensuite deux décennies plus tard, les résultats ne se sont pas faits attendre. Actuellement c’est un Equato-Guinéen qui gouverne la Banque des Etats de l’Afrique Centrale. On en compte dans nombres d’institutions africaines jusqu’au cœur des Institutions du système des Nations unies comme la
Banque mondiale ou le Fonds Monétaire international (FMI). Obiang sait que l’homme grandit, murit puis vieillit, aussi a-t-il songé à préparer la relève. De nombreux jeunes sont entrés au Gouvernement ; d’autres à diverses fonctions dans l’administration ou en diplomatie. La Guinée Equatoriale de demain est déjà sur les rails.
« Le plus important n’est pas le modèle de la démocratie, car il n’existe pas un modèle parfait. Le plus important ce sont les principes démocratiques, qui sont universels et doivent être appliqués conformément à la réalité sociopolitique de chaque pays. » C’est l’homme de dialogue qui parle. Assorti de l’homme d’expérience. Le principe fondateur de la démocratie est la liberté d’expression. C’est au nom de ce principe que le président Obiang Nguema Mbasogo a appelé à un dialogue inclusif en Novembre 2014.
Les fils et filles de la Guinée Equatoriale doivent se parler. Tout ce que l’opposition compte de partis et personnalités se sont retrouvés dans le cadre de ce dialogue. Les résolutions ont été prises librement et appliquées selon les consensus dégagés lors de ce dialogue. Obiang Nguema se veut rassembleur des fils et filles de la Guinée-Equatoriale, qu’on soit d’accord avec lui ou pas. A l’appel, les congressistes ont rendu hommage à l’homme du rassemblement.
En fin des comptes, ce choix est le choix de la reconnaissance historique du père fondateur d’une autre Guinée-Equatoriale : celle qui s’achemine sans conteste vers l’émergence. Il en a posé les bases.
C’est le cœur rempli d’émotion que le président Obiang Nguema Mbasogo candidat à sa propre succession en 2016, a accueilli cette nouvelle. « Paralysé par l’émotion, j’accepte le résultat avec discipline, la discipline du parti. Je vous ai toujours indiqué ma disponibilité et parfois je vous dis qu’il vaut mieux un mal connu qu’un bonheur incertain. Vous me connaissez déjà très bien et je ne crois pas qu’à cette date j’ai changé mon caractère » Il saluera à son tour le choix historique car c’est un choix qui a été motivé par le besoin de poursuivre une paix durable axé sur la continuation du développement du pays. Obiang rappellera les propos de son discours d’ouverture en disant que la Guinée Equatoriale a changé et qu’elle n’est plus celle du 03 Août 1979. Ces changements se sont opérés au plan des infrastructures et du niveau de vie des Equato-Guinéens. Mais que toutes ces transformations ont été rendues possible avec la contribution de tous.
Le choix d’Obiang Nguema est surtout motivé par les accomplissements de cet homme. Il est le bâtisseur de la Guinée Equatoriale moderne. De camps de colons il en a fait des villes modernes. Cet élan de modernisation ne s’est pas seulement limité aux principales villes. Mais il l’a fait profiter à l’ensemble des zones de vie du pays. Dans un souci de faire une Guinée-Equatoriale uniforme sans clivage ni contrastes bouleversants tels qu’on en observe dans certains pays de la sous région. Comment ne pas accorder la confiance à cet homme ?
En plus d’être ce bâtisseur, il est le restaurateur de la dignité de l’Equato Guinéen. Du planton dans de nombreux pays de la sous-région, il a su amener l’Equato-Guinéen, d’abord à rentrer dans son pays, à se former et à améliorer son cadre de vie. Ensuite deux décennies plus tard, les résultats ne se sont pas faits attendre. Actuellement c’est un Equato-Guinéen qui gouverne la Banque des Etats de l’Afrique Centrale. On en compte dans nombres d’institutions africaines jusqu’au cœur des Institutions du système des Nations unies comme la
Banque mondiale ou le Fonds Monétaire international (FMI). Obiang sait que l’homme grandit, murit puis vieillit, aussi a-t-il songé à préparer la relève. De nombreux jeunes sont entrés au Gouvernement ; d’autres à diverses fonctions dans l’administration ou en diplomatie. La Guinée Equatoriale de demain est déjà sur les rails.
« Le plus important n’est pas le modèle de la démocratie, car il n’existe pas un modèle parfait. Le plus important ce sont les principes démocratiques, qui sont universels et doivent être appliqués conformément à la réalité sociopolitique de chaque pays. » C’est l’homme de dialogue qui parle. Assorti de l’homme d’expérience. Le principe fondateur de la démocratie est la liberté d’expression. C’est au nom de ce principe que le président Obiang Nguema Mbasogo a appelé à un dialogue inclusif en Novembre 2014.
Les fils et filles de la Guinée Equatoriale doivent se parler. Tout ce que l’opposition compte de partis et personnalités se sont retrouvés dans le cadre de ce dialogue. Les résolutions ont été prises librement et appliquées selon les consensus dégagés lors de ce dialogue. Obiang Nguema se veut rassembleur des fils et filles de la Guinée-Equatoriale, qu’on soit d’accord avec lui ou pas. A l’appel, les congressistes ont rendu hommage à l’homme du rassemblement.
En fin des comptes, ce choix est le choix de la reconnaissance historique du père fondateur d’une autre Guinée-Equatoriale : celle qui s’achemine sans conteste vers l’émergence. Il en a posé les bases.
