L'accueil
Que retenir des dernières apparitions de l’une des branches de la CORED, la CORED-UP, lors d’une conférence organisée par le Parti socialiste dans le cadre de la préparation de la COP21 ? Simplement que la division au sein de cette coalition s’est affirmée et que Raimundo Ela Nsang a décidé de véritablement se démarquer de ses pairs qui se réclament d’une CORED-PP.
Lors de cette conférence Raimundo Ela Nsang a donné son sentiment sur ses intentions de participer aux élections présidentielles à venir dans son pays. Si globalement cette position est aux antipodes de ce que développe la CORED-PP, la faction d’extrémiste de ce mouvement, elle souffre d’un manquement, c’est le sérieux de la formulation de ce projet. Car dans la mesure où ce dernier ne compte même pas une cellule dans le pays, comment compte-t-il jouer un rôle actif lors de cette présidentielle ? De plus et comme cela a déjà été constaté par de nombreuses personnes, Raimundo Ela Nsang qui nourrit des ambitions n’a jamais légalisé son parti politique. Sous quel label se présentera-t-il dans ce cas-là ?
Ce sont là autant de questions pratiques que ce membre d’une autre CORED quasi fictive aussi devra répondre. Ces réponses devront certainement être sur la table avant de mener une campagne sur des élections transparentes en Guinée Equatoriale auprès d’officines extérieures. Là aussi, quelque chose sort comme du déjà entendu. Comment avant que se tienne une élection on présume déjà de son irrégularité ? Cela ne ressemble-t-il pas déjà à un aveu d’échec ?
C’est un peu cette histoire de la tortue incapable de franchir un tronc d’arbre s’était mise à se rouler par terre en prétextant la mort de sa mère ; et le lièvre pris de pitié le mettra naïvement sur son dos pour le mener à son village.
Si on loue la position de Raimundo qui parle au moins de participation à la différence de Severo qui pense à la violence, il ne devrait pas cependant mettre la charrue avant les bœufs. Encore faudrait-il ajouter à cette démarche tout le réalisme qu’elle demande. Parler d’élection c’est avoir les moyens de concourir vaillamment. Visiblement ce dernier n’en donne ni le profil ni les capacités de peser dans cette joute qui s’annonce. Aussi utilise-t-il déjà l’arme de la transparence pour pouvoir renoncer, avec un peu de dignité, lorsqu’interviendra le calendrier de démarrage effectif de ces élections. Personne n’est dupe.
C’est pourquoi parler de transparence dans les milieux du Parti Socialiste français, pense-t-il, rendrait sa démarche et son plan crédibles. Tout ceci n’est que vaste blague dans la mesure où la popularité du potentiel candidat du PDGE ne souffre pas de contestation. Que les Raimundo Ela Nsang et d’autres charlatans optent pour une attitude plus réaliste. En gros ce qu’a fait la vaillante Emely Nchama Jahr : se rendre en Guinée Equatoriale, fonder son parti politique, et prendre langue avec l’autorité. La démocratie ne se conçoit pas sans dialogue.
Lors de cette conférence Raimundo Ela Nsang a donné son sentiment sur ses intentions de participer aux élections présidentielles à venir dans son pays. Si globalement cette position est aux antipodes de ce que développe la CORED-PP, la faction d’extrémiste de ce mouvement, elle souffre d’un manquement, c’est le sérieux de la formulation de ce projet. Car dans la mesure où ce dernier ne compte même pas une cellule dans le pays, comment compte-t-il jouer un rôle actif lors de cette présidentielle ? De plus et comme cela a déjà été constaté par de nombreuses personnes, Raimundo Ela Nsang qui nourrit des ambitions n’a jamais légalisé son parti politique. Sous quel label se présentera-t-il dans ce cas-là ?
Ce sont là autant de questions pratiques que ce membre d’une autre CORED quasi fictive aussi devra répondre. Ces réponses devront certainement être sur la table avant de mener une campagne sur des élections transparentes en Guinée Equatoriale auprès d’officines extérieures. Là aussi, quelque chose sort comme du déjà entendu. Comment avant que se tienne une élection on présume déjà de son irrégularité ? Cela ne ressemble-t-il pas déjà à un aveu d’échec ?
C’est un peu cette histoire de la tortue incapable de franchir un tronc d’arbre s’était mise à se rouler par terre en prétextant la mort de sa mère ; et le lièvre pris de pitié le mettra naïvement sur son dos pour le mener à son village.
Si on loue la position de Raimundo qui parle au moins de participation à la différence de Severo qui pense à la violence, il ne devrait pas cependant mettre la charrue avant les bœufs. Encore faudrait-il ajouter à cette démarche tout le réalisme qu’elle demande. Parler d’élection c’est avoir les moyens de concourir vaillamment. Visiblement ce dernier n’en donne ni le profil ni les capacités de peser dans cette joute qui s’annonce. Aussi utilise-t-il déjà l’arme de la transparence pour pouvoir renoncer, avec un peu de dignité, lorsqu’interviendra le calendrier de démarrage effectif de ces élections. Personne n’est dupe.
C’est pourquoi parler de transparence dans les milieux du Parti Socialiste français, pense-t-il, rendrait sa démarche et son plan crédibles. Tout ceci n’est que vaste blague dans la mesure où la popularité du potentiel candidat du PDGE ne souffre pas de contestation. Que les Raimundo Ela Nsang et d’autres charlatans optent pour une attitude plus réaliste. En gros ce qu’a fait la vaillante Emely Nchama Jahr : se rendre en Guinée Equatoriale, fonder son parti politique, et prendre langue avec l’autorité. La démocratie ne se conçoit pas sans dialogue.
