Nous rafraîchirons la mémoire à Salomon, mais avant cela, rappelons à ce dernier que sa liste, et ce fut démontré, est un ramassis de mensonges. Il vient d’ailleurs de le reconfirmer en revenant finalement sur le montage initial qui contenait 310 noms, en lieu et place de la révision récente qu’il avait faite, et qui la gonflait de 140 noms de plus, pour l’amener à 450 noms. Il faut que Salomon se mette déjà d’accord avec ses chiffres.
Cette liste, à titre de rappel, en la scrutant, avait révélé que la plupart des personnes qui la composaient, étaient décédées suite à des causes naturelles : maladie, vieillesse et à des accidents de circulation pour les autres. Tout comme il a aussi été découvert que des noms de personnes y ont été mises de façons fantaisistes. Par exemple, de nombreuses personnes sont identifiées soit par un nom de famille, soit par un simple prénom. Toute chose qui montre qu’il n’y a jamais eu d’enquête de quelque manière que ce soit. Ce qui révèle la duperie et l’escroquerie intellectuelle sur fond de manipulation orchestrée par un gang se réclamant de la CORED.
Salomon est simplement en train de confirmer, une fois de plus, le caractère de la manipulation ourdie avec des limiers de Sherpa, à l’époque dans un bureau du 66, Boulevard Haussmann, lieu où cette liste de personnes a été confectionnée. Cela s’appelle la manipulation. Cette manipulation avait bien failli prendre avec la presse française aux ordres mais la mise au point véridique des autorités Equato-Guinéennes l’a vite convaincue de la grosse boule qui dégageait une odeur puante de manipulation. Et Salomon qui n’a rien compris, revient maladroitement à la charge, en se saisissant de la commémoration du 3 août. Sur cette commémoration, et du point de vue de Salomon qu’en dire ?
Salomon a une bouche et un cerveau qui ne lui servent à rien. Car un Equato-Guinéen normalement constitué, ne peut pas regretter les années de dictature de Macias Nguema Biyogo. Comment peut-on regretter une Guinée-Equatoriale pauvre, vide de tout ; sans route, sans ports dignes de ce nom ; sans aéroport au moment où ces infrastructures et plus encore se dressent sous vos yeux ! Où était la Guinée-Equatoriale il y a 37 ans ? Salomon comme Severo Moto, son complice, sont en train de montrer que leurs critiques à l’égard du régime du Président Obiang Nguema Mbasogo ne sont qu’une expression de leur mauvaise foi.
Parlant d’ailleurs de ces deux personnes, nous comprenons tout de suite que Salomon comme Moto Nsa sont de purs produits des années Macias dont ils connaissent les atrocités. C’est ce même Salomon, champion de la perfidie, il y a quelques années, demandait à rencontrer le président Obiang Nguema Mbasogo à Genève pour lui livrer des secrets qu’il disait détenir sur les complots que menaient Severo moto en France et en Espagne. La réponse du Président Obiang Nguema Mbasogo à cette sollicitude fut de se demander : « Qui est ce Salomon ? Et depuis quand y a-t-il un exilé politique et un opposant du nom de Salomon ? Dites à ce Monsieur de rentrer au pays car il ne se souvient pas avoir un problème avec un Equato-Guinéen portant ce patronyme. »
Cet homme est simplement prisonnier de son jeu de mensonge et l’on se demande s’il est encore capable de regarder ses compatriotes et sa famille en face.