Rappelons à Severo Moto que les choses ne sont pas telles qu’il les présente. Car aux dernières élections en Guinée-Equatoriale, l’Etat Equato-Guinéen a clairement ouvert son pays à l’observation des élections. Contrairement à ce que veut prétendre Severo Moto Nsa, la Guinée-Equatoriale n’a pas organisé les élections d’avril dernier à huis clos. Parmi ces observateurs on a vu la mission d’observation de l’Union africaine conduite par l’ancien président du Bénin Thomas Boni Yayi. Plusieurs autres organisations du continent ont supervisé ces élections. En Etat responsable et soucieux de la transparence, le gouvernement Equato-Guinéen a répondu favorablement à l’organisation continentale, l’Union africaine, pour attester de la clarté de ces élections.
Mais avant de solliciter cette mission d’observation, il y a eu au préalable la volonté du Gouvernement Equato-Guinéen à associer toutes les composantes de la politique de son pays à la préparation de ce processus. Que Severo Moto démontre le contraire.
En amont il y a eu la somme de modification des textes deux ans avant la tenue de ces élections. Modifications de textes auxquelles l’opposition a participé activement. Severo Moto a été convié à ces rencontres qui préparaient la transparence tant électorale que la réforme des institutions en Guinée-Equatoriale. A cela il a répondu en voulant une rencontre exclusive en cachette avec le Président Obiang. Ce que ce dernier a refusé le conviant à s’asseoir devant tous les Equato-Guinéens et enfin de se dire publiquement ce que lui, Severo Moto, reprochait au régime actuel. A qui la faute ?
Ce que le fossile de l’opposition Equato-Guinéenne doit savoir est qu’en matière d’observation, toutes les organisations ont des compétences avérées. Et que ce qui importe est l’ouverture des Etats à leur présence. C’est ce gage de transparence qui importe par dessus tout.
Severo Moto, le propagandiste du dictateur Macias Nguema, doit se taire que de chercher à créer des querelles aux Etats amis de la Guinée-Equatoriale.
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