L'accueil
Un tigre en papier n’a jamais rien fait de ses griffes, car il n’en a pas. C’est ce que Severo Moto est devenu, lui et sa bande, des tigres en papier, sans griffe pour attraper la moindre proie.
Il faut certainement rappeler les épisodes de la vie de ce mercenaire et ex-propagandiste pour montrer définitivement à la face du monde que cet homme est du passé et ne peut s’inscrire dans l’avenir.
C’est deux ans après l’accession de Macias Nguema qu’il intègre le Gouvernement. Il y est présent et aux côtés du dictateur jusqu’à la chute de ce dernier le 03 août 1979. Cumulativement à son poste de ministre de l’information, il dirigeait la Radio nationale et le journal gouvernemental Ebano. C’est muni de ces diverses casquettes qu’il était le relais de la voix de Macias Nguema Biyogo. A partir de cette position privilégiée, plus qu’Obiang Nguema Mbasogo, il était l’homme le plus proche du dictateur qui a régné de façon sanguinaire et impitoyable sur la Guinée-Equatoriale pendant 11 ans. Des exactions commises sous le régime de cette dictature intrépide et sans pitié il les a vécues aux premières loges.
Lorsque se passaient des exécutions sommaires, qui était le chef de la radio qui s’assurait que tout cela était bien relayé ? n’est-ce pas le patron de cette radio nationale le sieur Severo Moto Nsa ? Il tournera casaque non pas parce qu’il était acquis à la nécessité de voir la Guinée-Equatoriale changer de cap, mais par traitrise. N’empêche, le nouveau régime qui s’instaure à Malabo dès le 03 août 1979 le restaure dans ses prérogatives. Il est ministre de l’information à nouveau.
Homme à l’esprit revanchard, il a voulu conduire le nouveau régime à des règlements de compte ce qui ne plaira pas à Obiang Nguema Mbasogo qui le remerciera en 1981. Ayant considéré sa sortie du gouvernement comme un affront, il décidera de quitter le pays pour l’Espagne. C’est donc un aigri qui se retrouvera dans le pays d’Aznar à l’époque et se proclamera opposant au régime d’Obiang Nguema Mbasogo. Il trouvera un vivier pour faire accepter son statut. Ce d’autant plus que le régime Espagnol déteste Malabo qui a décidé de rompre avec la politique de la servitude à l’ancien colonisateur ; mais a choisi de construire le pays et de le faire évoluer. Les Espagnols auraient plutôt voulu un larbin à leur solde comme l’avait quelque peu été Macias Nguema Biyogo avant qu’il se démarque d’eux.
Devenu Opposant, il est choyé par la Droite espagnole. Celle-ci l’appui et tentera en 2004 de renverser le régime d’Obiang Nguema Mbasogo pour le placer lui Severo Moto. Cette tentative de putsch échoue. Mais Severo Moto n’en démordra pas et fera une nouvelle tentative en 2008 en passant par l’enclave de Cabinda. Manque de pot, ses armes sont saisis au port de Sagunto.
De tout temps Severo Moto Nsa, le propagandiste du dictateur Macias Nguema Biyogo n’a montré que la voie de la violence et de la déstabilisation. Des options dont on sait ne peuvent que compromettre la paix et la stabilité dans un pays. Et mettre toute une jeunesse en insécurité par rapport à son avenir. Toute chose qui prouve qu’en aucun cas, Severo Moto reste un homme du passé et ne peut incarner les nouvelles valeurs dans lesquelles baignent aujourd’hui cette jeunesse.
Peut-on comparer cet homme à Obiang Nguema Mbasogo? La libération de la Guinée-Equatoriale était une option plus qu’indispensable en 1979. Lorsqu’on aime son pays il est impossible de le voir sombrer puis mourir. Dans les conditions où se trouvait la Guinée-Equatoriale, un sursaut patriotique était nécessaire. C’est ce sursaut que l’actuel président de la République et ses compagnons d’armes ont eu cette année-là. Puis ils n’en sont pas restés là. A la tête de l’Etat et fort de ses responsabilités, il a mis toute son énergie à redonner à la Guinée-Equatoriale sa noblesse perdue.
Au fil des ans, il planifie, dégage une vision, la partage avec son peuple. L’aide que ses homologues plus nantis lui apportent est soigneusement mise à contribution pour poser les jalons du décollage de la Guinée-Equatoriale. Et dès que les grandes opportunités se sont présentées il a propulsé le pays loin devant ses voisins. C’est cette nouvelle Guinée-Equatoriale qui se dresse tel un Ceiba au cœur de la sous-région d’Afrique centrale. En cela, Obiang Nguema Mbasogo est résolument rentré dans l’histoire de ce peuple comme le bâtisseur de l’Etat et de la Nation Equato-Guinéenne.
L’histoire de la Guinée-Equatoriale, demain, se dira en deux temps : un temps pour se remémorer le passé douloureux de Macias Nguema Biyogo, histoire à laquelle Moto Nsa sera incontestablement évoqué comme collaborateur, histoire de ces hommes dont on ne voudra plus jamais rappeler le souvenir. Puis cette histoire de la Guinée-Equatoriale aura un autre temps pour dire la libération du joug de cette dictature. Et c’est là qu’incontestablement, Obiang Nguema Mbasogo entre dans la conscience populaire comme l’artisan de la nouvelle Guinée-Equatoriale : celle du développement, celle de la transformation, celle de la construction, celle qui court comme une étoile filante vers cet horizon 2020, Horizon de l’affirmation économique et des valeurs démocratiques. Sa mémoire ne disparaitra donc plus jamais. En cela, il ne peut pas être un homme fini.
Il faut certainement rappeler les épisodes de la vie de ce mercenaire et ex-propagandiste pour montrer définitivement à la face du monde que cet homme est du passé et ne peut s’inscrire dans l’avenir.
C’est deux ans après l’accession de Macias Nguema qu’il intègre le Gouvernement. Il y est présent et aux côtés du dictateur jusqu’à la chute de ce dernier le 03 août 1979. Cumulativement à son poste de ministre de l’information, il dirigeait la Radio nationale et le journal gouvernemental Ebano. C’est muni de ces diverses casquettes qu’il était le relais de la voix de Macias Nguema Biyogo. A partir de cette position privilégiée, plus qu’Obiang Nguema Mbasogo, il était l’homme le plus proche du dictateur qui a régné de façon sanguinaire et impitoyable sur la Guinée-Equatoriale pendant 11 ans. Des exactions commises sous le régime de cette dictature intrépide et sans pitié il les a vécues aux premières loges.
Lorsque se passaient des exécutions sommaires, qui était le chef de la radio qui s’assurait que tout cela était bien relayé ? n’est-ce pas le patron de cette radio nationale le sieur Severo Moto Nsa ? Il tournera casaque non pas parce qu’il était acquis à la nécessité de voir la Guinée-Equatoriale changer de cap, mais par traitrise. N’empêche, le nouveau régime qui s’instaure à Malabo dès le 03 août 1979 le restaure dans ses prérogatives. Il est ministre de l’information à nouveau.
Homme à l’esprit revanchard, il a voulu conduire le nouveau régime à des règlements de compte ce qui ne plaira pas à Obiang Nguema Mbasogo qui le remerciera en 1981. Ayant considéré sa sortie du gouvernement comme un affront, il décidera de quitter le pays pour l’Espagne. C’est donc un aigri qui se retrouvera dans le pays d’Aznar à l’époque et se proclamera opposant au régime d’Obiang Nguema Mbasogo. Il trouvera un vivier pour faire accepter son statut. Ce d’autant plus que le régime Espagnol déteste Malabo qui a décidé de rompre avec la politique de la servitude à l’ancien colonisateur ; mais a choisi de construire le pays et de le faire évoluer. Les Espagnols auraient plutôt voulu un larbin à leur solde comme l’avait quelque peu été Macias Nguema Biyogo avant qu’il se démarque d’eux.
Devenu Opposant, il est choyé par la Droite espagnole. Celle-ci l’appui et tentera en 2004 de renverser le régime d’Obiang Nguema Mbasogo pour le placer lui Severo Moto. Cette tentative de putsch échoue. Mais Severo Moto n’en démordra pas et fera une nouvelle tentative en 2008 en passant par l’enclave de Cabinda. Manque de pot, ses armes sont saisis au port de Sagunto.
De tout temps Severo Moto Nsa, le propagandiste du dictateur Macias Nguema Biyogo n’a montré que la voie de la violence et de la déstabilisation. Des options dont on sait ne peuvent que compromettre la paix et la stabilité dans un pays. Et mettre toute une jeunesse en insécurité par rapport à son avenir. Toute chose qui prouve qu’en aucun cas, Severo Moto reste un homme du passé et ne peut incarner les nouvelles valeurs dans lesquelles baignent aujourd’hui cette jeunesse.
Peut-on comparer cet homme à Obiang Nguema Mbasogo? La libération de la Guinée-Equatoriale était une option plus qu’indispensable en 1979. Lorsqu’on aime son pays il est impossible de le voir sombrer puis mourir. Dans les conditions où se trouvait la Guinée-Equatoriale, un sursaut patriotique était nécessaire. C’est ce sursaut que l’actuel président de la République et ses compagnons d’armes ont eu cette année-là. Puis ils n’en sont pas restés là. A la tête de l’Etat et fort de ses responsabilités, il a mis toute son énergie à redonner à la Guinée-Equatoriale sa noblesse perdue.
Au fil des ans, il planifie, dégage une vision, la partage avec son peuple. L’aide que ses homologues plus nantis lui apportent est soigneusement mise à contribution pour poser les jalons du décollage de la Guinée-Equatoriale. Et dès que les grandes opportunités se sont présentées il a propulsé le pays loin devant ses voisins. C’est cette nouvelle Guinée-Equatoriale qui se dresse tel un Ceiba au cœur de la sous-région d’Afrique centrale. En cela, Obiang Nguema Mbasogo est résolument rentré dans l’histoire de ce peuple comme le bâtisseur de l’Etat et de la Nation Equato-Guinéenne.
L’histoire de la Guinée-Equatoriale, demain, se dira en deux temps : un temps pour se remémorer le passé douloureux de Macias Nguema Biyogo, histoire à laquelle Moto Nsa sera incontestablement évoqué comme collaborateur, histoire de ces hommes dont on ne voudra plus jamais rappeler le souvenir. Puis cette histoire de la Guinée-Equatoriale aura un autre temps pour dire la libération du joug de cette dictature. Et c’est là qu’incontestablement, Obiang Nguema Mbasogo entre dans la conscience populaire comme l’artisan de la nouvelle Guinée-Equatoriale : celle du développement, celle de la transformation, celle de la construction, celle qui court comme une étoile filante vers cet horizon 2020, Horizon de l’affirmation économique et des valeurs démocratiques. Sa mémoire ne disparaitra donc plus jamais. En cela, il ne peut pas être un homme fini.
