A partir de là, l’ancien propagandiste de Francisco Marcias Nguema Biyogo s’était lui même exclu du processus électoral. Or l’une des causes de la convocation de cette table ronde consistait à ficeler toute l’organisation des élections. A savoir la légalisation des partis politiques, les lois électorales, et les autres questions liées à la vie politique de la Guinée Equatoriale. La fameuse CORED-PP, conviée comme toutes les autres organisations s’est refusée à y prendre part.
Conclusion, le parti politique de Severo Moto n’a aucune existence juridique en Guinée Equatoriale par sa propre faute. Il ne peut participer à aucune élection. Il ne peut donc s’en prendre qu’à lui-même. Or dans le processus de recensement qui vient de se tenir en Guinée-Equatoriale, des organismes internationaux reconnus pour leur sérieux viennent de reconnaître le sérieux des opérations liées à ce processus, vu que l’Etat Equato-Guinéen a tenu à ce que tout se passe dans la transparence.
On veut bien que le propagandiste de Macias Nguema Biyogo rouspète, mais que cela soit à propos. Et surtout qu’il ait une bonne raison de le faire. Prenant les choses sous un autre jour, notamment sur l’histoire de cet homme, l’on voit bien que ce dernier n’a jamais recherché à ce que l’alternance se fasse en Guinée-Equatoriale par des voies démocratiques.
A plusieurs reprises il a tenté de déstabiliser la Guinée-Equatoriale à travers des putschs. Tous ont été mis en échec. Depuis celui organisé avec des mercenaires de nationalités britanniques à son incursion au Cabinda où, il finira par être exfiltré par ses complices espagnols. Alors qui d’Obiang Nguema Mbasogo, ou de Severo Moto menace réellement la paix en guinée-Equatoriale.
Il est étonnant qu’à bientôt 75 ans d’âge cet homme qui doit déjà être arrière-grand-père n’arrive pas à asseoir un peu de cohérence dans son existence. Tout part d’abord d’une incohérence assortie d’opacité dans son cursus. On apprend qu’il a effectué une formation en journalisme « ecclésiastique ». Ce qui voudrait dire que cet homme a certainement étudié les rudiments de la théologie et des écritures Saintes. Ce qui naturellement aussi devait produire un homme ancré dans les valeurs humaines. Dont l’honnêteté, la vérité, la justice etc. Mais lorsque ce personnage en vient à inventer des listes de victimes pour incriminer la Guinée-Equatoriale, cela frise l’immoralité. Alors, qu’a-t-il reçu de sa formation de « journalisme ecclésiastique » ?
Des informations déshonorantes circulent autour de lui et laisse des doutes sur le fonctionnement normal de cet homme. On le dirait affecté d’un choc psychologique avéré. Choc qu’il faut rechercher dans des perturbations d’une vie familiale non accomplie, en proie au vice. Certainement marquée par des troubles affectifs.
Severo Moto est aujourd’hui isolé politiquement ; mais aussi encerclé par ses turpitudes. En réalité ce chantre d’une opposition fictive rumine définitivement son échec.
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