La collaboration avec la Croix Rouge a été voulue par la Guinée Equatoriale dans un souci de transparence. Accusé à tort de mauvaises pratiques dans les prisons et d’arrestation pour délit d’opinion, les autorités Equato-Guinéennes par cette coopération, veulent montrer à la face du monde qu’il ne s’agit là que de procès d’intentions. Procès souvent orchestrés par des dissidents en mal de discours.
Alors que ces derniers affichent un embonpoint sans faille, il est étonnant qu’ils se disent être des témoins oculaires des tortures dans les prisons Equato-guinéennes et qu’ils ont subi ces tortures dans leur chair. Or aucun d’entre eux, vu les descriptions qu’ils en font souvent ne présentent aucun infirmité ou déformation d’un organe sous l’effet de la torture.
La Guinée Equatoriale en s’ouvrant à la Croix Rouge et aux autres organismes veut simplement que ces organismes touchent du doigt les réalités des prisons et vérifient surtout l’exactitude des affirmations du gouvernement. A savoir qu’aucune personne ne se trouve dans une prison Equato-guinéenne pour délit d’opinion. Encore moins de prisonniers politiques. Aussi, par ces initiatives, cherche-t-elle à couper court aux manipulations de dissidents regroupés au sein d’une Cored fictive.
Or il y a quelques temps, suite à des attaques et à une campagne d’intoxication menée par un chef de mission de la Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies, Gustavo Gallon Giraldo, à qui le mandat avait été retiré vu qu’il extrapolait la question des Droits de l’Homme en Guinée Equatoriale ; alors que le tableau était autre. Ce dernier fut lui-même rattrapé par des missions diplomatiques qui avaient contesté son rapport car non conforme à la vérité. L’on se souviendra toujours de leur avis : « dans les dernières décennies on avait enregistré ni disparitions d’opposants, ni d’arrestations arbitraires pour motif politique encore moins des traitements inhumains et dégradants. » C’est le Nigeria, aux commandes, suivi par de nombreux autres pays qui voteront la mise au ban de ce dernier du fait de ces rapports mensongers, et qui ne permettaient pas à la commission d’avoir une idée réelle de la situation sur place.
La Guinée Equatoriale a donc décidé de s’inscrire dans la transparence en ouvrant grandement les portes à la Croix Rouge Internationale et lui permettre de faire son travail en toute objectivité.