« L’imposant édifice situé à Baney [quartier de Malabo], et où se sont déroulés les travaux préparatoires du présent Conseil des ministres, porte également témoignage des efforts courageux que déploient les autorités équato-guinéennes à notre endroit. Cet édifice, par son ambition d’abriter dans les prochains jours les administrations de la Commission, vise à régler l’embarrassante situation d’absence de siège où la Commission se trouve enlisée depuis près de 4 ans », s’est réjoui Pierre Moussa.
Depuis le coup d’État de la Séléka, le 24 mars 2013, les activités de l’organisation sous-régionale ont été régulièrement perturbées par la crise centrafricaine. Son siège a servi pendant plusieurs semaines de refuge à une grande partie de ses 300 salariés.
Source : (Avec agence ecofin)