Cette décision survient une semaine après qu'Ophir a fait part de son impatience face au silence du gouvernement sur ce sujet. Le ministère équato-guinéen des hydrocarbures met ainsi à exécution ses menaces publiées en mai dernier, selon lesquelles il retirerait les droits d'exploration à l'explorateur britannique si la décision finale d'investissement pour le projet n'était pas prise en fin 2018.
Les dirigeants d'Ophir ont déclaré être déçus par la décision et indiqué qu'ils poursuivent les négociations avec Medco en vue de céder les parts d'Ophir et se concentrer sur ses actifs en Asie.
Ophir a surtout échoué à mettre en oeuvre le premier projet de liquéfaction de gaz naturel en eaux profondes d'Afrique.
Source : Agence ecofin