L'accueil
Jamais dans l’histoire la plus récente de notre pays nous n’avons vu l’opposition dans un tel esprit de polémique, au point de profiter de la situation difficile que traverse le monde entier, à travers la crise sanitaire du Coronavirus. Une opposition qui se radicalise au fur et à mesure qu’elle voit ses tentatives de s’emparer du pouvoir par des méthodes non démocratiques entravées.
Or, alors que nous pensions que toutes les limites morales et de décence avaient été franchies, nous sommes toujours surpris par des publications telles que la "lettre au Président de la Guinée équatoriale en fuite inconnue", publiée anonymement par l’un des sites de l’opposition "Radio Mcuto".
Dans la lettre en question, nous sommes vivement frappés par le fait que l’auteure de la communication s’érige en "porte-parole du peuple de la République de Guinée équatoriale", allant jusqu’à affirmer que "le peuple lui demande d’abandonner, de renoncer à la présidence". Affirmations dangereuses, lancées sous couvert d’anonymat, par quelqu’un qui s’érige, sans vote ni sondage, en "porte-parole du peuple".
Il faut rappeler, tout d’abord, que le peuple souverain de Guinée équatoriale avait accordé sa confiance au projet politique de notre Leader charismatique, lors de la dernière élection présidentielle,avec sa réélection le 24 avril, où il remporta une victoire écrasante de 92 % des suffrages.
Premièrement, l’affirmation selon laquelle "la Guinée équatoriale a pris du retard pendant tout le temps que ce dernier préside aux destinées de notre pays" est tout simplement une méconnaissance de l’histoire la plus récente de la Guinée équatoriale, Car quand notre président fondateur du PDGE a pris les rênes du pays, notre nation était complètement ruinée : les écoles fonctionnaient plus depuis des années ; les églises étaient fermées, le gouvernement n’avait plus de fonctions, etc… En définitive, un état en ruine. Une situation qui s’est atténuée au fil des ans jusqu’à ce que nous en arrivions là. La Guinée équatoriale est aujourd’hui une référence en Afrique subsaharienne et ce,dans plusieurs domaines.
Deuxièmement, en ce qui concerne l’éducation et la santé, que dire? Les politiques éducatives mises en œuvre par le gouvernement du PDGE ont inversé notre situation de confrontation dans l’évaluation des pays où les données en matière d’alphabétisation et de scolarisation étaient les plus mauvaises, pour les placer dans des positions de premier plan, Ainsi, des institutions internationales comme l’UNICEF, l’UNESCO, etc. en ont félicité notre gouvernement.
Dans les années 80, il n’y avait pratiquement pas d’instituts dans notre pays, et il n’y avait pas d’université, mais nous avons maintenant les meilleurs, par rapport aux pays de la sous-région. Et rappelez-vous que notre Président a fait un pari personnel pour créer l’Université Nationale (UNGE), pour former des cadres professionnels sans avoir besoin de quitter le territoire national. Sans oublier aussi l’ouverture récente de l’Université afro-américaine d’Oyala.
Au niveau de la santé, ceux d’entre nous qui ont toujours vécu dans ce pays, savent d’où nous venons, et où nous sommes maintenant. La Guinée équatoriale dispose déjà d’hôpitaux modernes qui rivalisent avec certains hôpitaux africains et européens de bonnes renommées. Un effort monumental a été déployé dans le secteur de la santé dans tout le pays, en construisant des centres de santé dans tous les coins, en formant des cadres qualifiés tant à l’UNGE qu’à l’extérieur de nos frontières.
L'"auteure anonyme" devrait donc être mieux documentée sur notre pays, qu’elle connaît si peu. Nous lui recommandons, par exemple, la publication réalisée dans la prestigieuse revue médicale The Lancet, par l’Institut de Métriques et d’Évaluation de la Santé (IHME, ses sigles en anglais) dans laquelle l’étude classe les différents pays selon leurs niveaux de capital humain. La présentation des résultats de cette étude précise que "la plus forte augmentation du capital humain dans les pays d’Afrique subsaharienne a été en Guinée équatoriale".
Troisièmement, en ce qui concerne les logements sociaux, l’auteure de la fameuse lettre ouverte fait à nouveau preuve de son ignorance et nous fait penser qu’elle a quitté notre pays depuis un certain temps. Nous n’avons pas d’autre choix que de lui expliquer que les logements sociaux ont été construits dans tous les districts du pays, et que toute personne remplissant les conditions (qui sont très souples) peut en bénéficier. Et qui sont des logements réalisés par des entreprises avec une réputation internationale prouvée. Et que, à ces logements, se sont ajoutées les nouvelles qui ont été construites dans plus de cinquante nouveaux Districts Urbains nouvellement créés. Affirmer que "ce ne sont pas des logements décents" comme il le fait, prouve une fois de plus que l’auteure de la lettre parle dans l’ignorance. Nous l’invitons également à s’enquérir du pourcentage de logements sociaux construits et habités en Guinée équatoriale, et du pourcentage de logements sociaux construits dans d’autres pays.
Quatrièmement, l’auteure de la lettre ouverte, poursuivant sa ligne d’affirmations infondées, assure que notre pays est endetté; dette "qu’il nous faudra peut-être cent ans pour nous en débarrasser". Nouveau mensonge : nous sommes, et sommes toujours, l’un des rares pays à avoir réalisé le projet de développement intégral sans avoir besoin de recourir à des emprunts extérieurs.
Cinquièmement, l’auteure de la "lettre adressée au Président de la Guinée équatoriale dont on est sans nouvelles" invite notre Président à "faire son autocritique". Et nous,vous invitons à une chose aussi simple de relire votre propre lettre, pour faire votre propre examen de conscience. Et vous vous rendrez finalement compte de vos propres turpitudes en vous relisant.
Pour conclure, l’expéditrice de la dite lettre, en s’adressant à notre Président : "Vous avez un grand défi devant vous et vous ne le voyez pas, bien sûr, parce que vous ne pouvez pas vous cacher". Nous voulons comprendre que vous faites référence à la crise de la pandémie mondiale du nouveau coronavirus COVID-19. Une crise que notre pays a affrontée avec courage; c’est pour cette gestion que notre gouvernement vient d’être félicité par la section chargée de l’Afrique de l’Organisation mondiale de la santé. Une crise dont nous sortirons la tête haute, de la même manière que nous sortons de la misère la plus absolue pour devenir la référence de notre région, grâce justement à la persévérance de notre Président fondateur, S. E. Obiang Nguema Mbasogo, malgré les disqualifications de ces "signataires anonymes" qui se présentent comme de faux porte-parole du peuple, même s’ils ne savent même pas écrire.
SERVICE DE PRESSE DU PDGE
Or, alors que nous pensions que toutes les limites morales et de décence avaient été franchies, nous sommes toujours surpris par des publications telles que la "lettre au Président de la Guinée équatoriale en fuite inconnue", publiée anonymement par l’un des sites de l’opposition "Radio Mcuto".
Dans la lettre en question, nous sommes vivement frappés par le fait que l’auteure de la communication s’érige en "porte-parole du peuple de la République de Guinée équatoriale", allant jusqu’à affirmer que "le peuple lui demande d’abandonner, de renoncer à la présidence". Affirmations dangereuses, lancées sous couvert d’anonymat, par quelqu’un qui s’érige, sans vote ni sondage, en "porte-parole du peuple".
Il faut rappeler, tout d’abord, que le peuple souverain de Guinée équatoriale avait accordé sa confiance au projet politique de notre Leader charismatique, lors de la dernière élection présidentielle,avec sa réélection le 24 avril, où il remporta une victoire écrasante de 92 % des suffrages.
Premièrement, l’affirmation selon laquelle "la Guinée équatoriale a pris du retard pendant tout le temps que ce dernier préside aux destinées de notre pays" est tout simplement une méconnaissance de l’histoire la plus récente de la Guinée équatoriale, Car quand notre président fondateur du PDGE a pris les rênes du pays, notre nation était complètement ruinée : les écoles fonctionnaient plus depuis des années ; les églises étaient fermées, le gouvernement n’avait plus de fonctions, etc… En définitive, un état en ruine. Une situation qui s’est atténuée au fil des ans jusqu’à ce que nous en arrivions là. La Guinée équatoriale est aujourd’hui une référence en Afrique subsaharienne et ce,dans plusieurs domaines.
Deuxièmement, en ce qui concerne l’éducation et la santé, que dire? Les politiques éducatives mises en œuvre par le gouvernement du PDGE ont inversé notre situation de confrontation dans l’évaluation des pays où les données en matière d’alphabétisation et de scolarisation étaient les plus mauvaises, pour les placer dans des positions de premier plan, Ainsi, des institutions internationales comme l’UNICEF, l’UNESCO, etc. en ont félicité notre gouvernement.
Dans les années 80, il n’y avait pratiquement pas d’instituts dans notre pays, et il n’y avait pas d’université, mais nous avons maintenant les meilleurs, par rapport aux pays de la sous-région. Et rappelez-vous que notre Président a fait un pari personnel pour créer l’Université Nationale (UNGE), pour former des cadres professionnels sans avoir besoin de quitter le territoire national. Sans oublier aussi l’ouverture récente de l’Université afro-américaine d’Oyala.
Au niveau de la santé, ceux d’entre nous qui ont toujours vécu dans ce pays, savent d’où nous venons, et où nous sommes maintenant. La Guinée équatoriale dispose déjà d’hôpitaux modernes qui rivalisent avec certains hôpitaux africains et européens de bonnes renommées. Un effort monumental a été déployé dans le secteur de la santé dans tout le pays, en construisant des centres de santé dans tous les coins, en formant des cadres qualifiés tant à l’UNGE qu’à l’extérieur de nos frontières.
L'"auteure anonyme" devrait donc être mieux documentée sur notre pays, qu’elle connaît si peu. Nous lui recommandons, par exemple, la publication réalisée dans la prestigieuse revue médicale The Lancet, par l’Institut de Métriques et d’Évaluation de la Santé (IHME, ses sigles en anglais) dans laquelle l’étude classe les différents pays selon leurs niveaux de capital humain. La présentation des résultats de cette étude précise que "la plus forte augmentation du capital humain dans les pays d’Afrique subsaharienne a été en Guinée équatoriale".
Troisièmement, en ce qui concerne les logements sociaux, l’auteure de la fameuse lettre ouverte fait à nouveau preuve de son ignorance et nous fait penser qu’elle a quitté notre pays depuis un certain temps. Nous n’avons pas d’autre choix que de lui expliquer que les logements sociaux ont été construits dans tous les districts du pays, et que toute personne remplissant les conditions (qui sont très souples) peut en bénéficier. Et qui sont des logements réalisés par des entreprises avec une réputation internationale prouvée. Et que, à ces logements, se sont ajoutées les nouvelles qui ont été construites dans plus de cinquante nouveaux Districts Urbains nouvellement créés. Affirmer que "ce ne sont pas des logements décents" comme il le fait, prouve une fois de plus que l’auteure de la lettre parle dans l’ignorance. Nous l’invitons également à s’enquérir du pourcentage de logements sociaux construits et habités en Guinée équatoriale, et du pourcentage de logements sociaux construits dans d’autres pays.
Quatrièmement, l’auteure de la lettre ouverte, poursuivant sa ligne d’affirmations infondées, assure que notre pays est endetté; dette "qu’il nous faudra peut-être cent ans pour nous en débarrasser". Nouveau mensonge : nous sommes, et sommes toujours, l’un des rares pays à avoir réalisé le projet de développement intégral sans avoir besoin de recourir à des emprunts extérieurs.
Cinquièmement, l’auteure de la "lettre adressée au Président de la Guinée équatoriale dont on est sans nouvelles" invite notre Président à "faire son autocritique". Et nous,vous invitons à une chose aussi simple de relire votre propre lettre, pour faire votre propre examen de conscience. Et vous vous rendrez finalement compte de vos propres turpitudes en vous relisant.
Pour conclure, l’expéditrice de la dite lettre, en s’adressant à notre Président : "Vous avez un grand défi devant vous et vous ne le voyez pas, bien sûr, parce que vous ne pouvez pas vous cacher". Nous voulons comprendre que vous faites référence à la crise de la pandémie mondiale du nouveau coronavirus COVID-19. Une crise que notre pays a affrontée avec courage; c’est pour cette gestion que notre gouvernement vient d’être félicité par la section chargée de l’Afrique de l’Organisation mondiale de la santé. Une crise dont nous sortirons la tête haute, de la même manière que nous sortons de la misère la plus absolue pour devenir la référence de notre région, grâce justement à la persévérance de notre Président fondateur, S. E. Obiang Nguema Mbasogo, malgré les disqualifications de ces "signataires anonymes" qui se présentent comme de faux porte-parole du peuple, même s’ils ne savent même pas écrire.
SERVICE DE PRESSE DU PDGE
