L'accueil
La Banque mondiale estime dans sa publication du 12 avril 2023 que la situation d’insécurité alimentaire devient alarmante en Afrique de l’ouest et l’Afrique centrale. Plus de 41 millions de personnes sont exposées au cours de la saison de soudure cette année, et 29 millions de personnes dépendent actuellement de l’aide alimentaire d’urgence.
Selon la Banque mondiale, cette situation d’insécurité alimentaire que 41 millions de personnes endurent et 29 millions dépendent de l’aide alimentaire est due au manque d’accès à la nourriture qui devient de plus en plus difficile pour les populations les plus vulnérables. La forte incidence de la malnutrition dans la région est causée par la fragilité et les conflits, les hauts niveaux de pauvreté, l’accélération du changement climatique, la faible productivité agricole, et les dégradations environnementales.
Pour la Banque mondiale, les pays d’Afrique de l’ouest et l’Afrique centrale concernés sont entre autres : Burkina Faso,Mali,Sierra Leone, Sénégal, Mauritanie, Niger, Nigéria, Gambie, Libéria,Gabon, Cameroun, Guinée Équatoriale, Guinée, Guinée-Bissau,Togo,Tchad, Cap-Vert, Ghana, Côte d’Ivoire, Centre-afrique, Benin
La Banque mondiale a débuté l’intervention immédiate qui vise avant tout à aider les pays à répondre plus en amont face à l’émergence de crises alimentaires, notamment par la réallocation de fonds issus d’opérations en cours, le déclenchement de la Composante d’intervention d’urgence (CERC), la mobilisation des fonds d’intervention d’urgence du Guichet spécial de financement de ripostes à la crise (CRW ERF) de l’Association internationale de développement (IDA), et la collaboration avec les acteurs humanitaires pour suivre l’évolution de l’insécurité alimentaire et la conception de Plans de préparation pour la sécurité alimentaire.
Elle poursuit en ce sens que, étant donné que les causes profondes et les conséquences de l’insécurité alimentaire dépassent les frontières nationales, elle a adopté une approche régionale pour développer la résilience des systèmes alimentaires. Le Programme de résilience du système alimentaire en Afrique de l’Ouest (FSRP), assorti d’un financement de 766 millions de dollars, devrait bénéficier à plus de quatre millions de personnes à travers la région. Il vise à augmenter la productivité agricole grâce à l’adoption de technologies climato- intelligentes, promouvoir les chaînes de valeurs interrégionales, et développer les capacités de gestion des risques agricoles au sein de la région. A ce jour, plus de 7,6 millions d’agriculteurs ont reçu des biens ou des services agricoles à travers les projets de la Banque mondiale, permettant ainsi d’améliorer leurs revenus et leur sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Source : Tchadinfos.com
Selon la Banque mondiale, cette situation d’insécurité alimentaire que 41 millions de personnes endurent et 29 millions dépendent de l’aide alimentaire est due au manque d’accès à la nourriture qui devient de plus en plus difficile pour les populations les plus vulnérables. La forte incidence de la malnutrition dans la région est causée par la fragilité et les conflits, les hauts niveaux de pauvreté, l’accélération du changement climatique, la faible productivité agricole, et les dégradations environnementales.
Pour la Banque mondiale, les pays d’Afrique de l’ouest et l’Afrique centrale concernés sont entre autres : Burkina Faso,Mali,Sierra Leone, Sénégal, Mauritanie, Niger, Nigéria, Gambie, Libéria,Gabon, Cameroun, Guinée Équatoriale, Guinée, Guinée-Bissau,Togo,Tchad, Cap-Vert, Ghana, Côte d’Ivoire, Centre-afrique, Benin
La Banque mondiale a débuté l’intervention immédiate qui vise avant tout à aider les pays à répondre plus en amont face à l’émergence de crises alimentaires, notamment par la réallocation de fonds issus d’opérations en cours, le déclenchement de la Composante d’intervention d’urgence (CERC), la mobilisation des fonds d’intervention d’urgence du Guichet spécial de financement de ripostes à la crise (CRW ERF) de l’Association internationale de développement (IDA), et la collaboration avec les acteurs humanitaires pour suivre l’évolution de l’insécurité alimentaire et la conception de Plans de préparation pour la sécurité alimentaire.
Elle poursuit en ce sens que, étant donné que les causes profondes et les conséquences de l’insécurité alimentaire dépassent les frontières nationales, elle a adopté une approche régionale pour développer la résilience des systèmes alimentaires. Le Programme de résilience du système alimentaire en Afrique de l’Ouest (FSRP), assorti d’un financement de 766 millions de dollars, devrait bénéficier à plus de quatre millions de personnes à travers la région. Il vise à augmenter la productivité agricole grâce à l’adoption de technologies climato- intelligentes, promouvoir les chaînes de valeurs interrégionales, et développer les capacités de gestion des risques agricoles au sein de la région. A ce jour, plus de 7,6 millions d’agriculteurs ont reçu des biens ou des services agricoles à travers les projets de la Banque mondiale, permettant ainsi d’améliorer leurs revenus et leur sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Source : Tchadinfos.com
