Cette nouvelle juridiction est désormais sous son giron avec la France et la Suisse. La Guinée Equatoriale a compris la nécessité d’agglomérer les missions diplomatiques pour plus d’efficacité. Cela s’avère également une économie substantielle en ressources tant financières qu’humaines. Mais un plan de réalisme dans la mesure où ce positionnement permet de mobiliser les énergies dans des missions diplomatiques où ce pays veut développer de grands centre d’intérêts. Mais également créer de cadres d’échanges importants.
Il faut noter que la Guinée Equatoriale totalise 47 ans de relations diplomatiques sans interruption avec la France. Et comme l’a rappelé l’Ambassadeur Miguel Oyono lors de la cérémonie commémorant le 47e anniversaire de l’accession de l’Indépendance de la Guinée-Equatoriale, tenue en différé le 16 Octobre dernier, la France a été le seul pays qui les a soutenu durant les années difficiles de la dictature de Macias Nguema. Aussi la cohésion au sein de ces relations est la matrice qui les guide. En s’étendant jusqu’à Monaco, c’est un maillage utile que la Guinée Equatoriale est en train d’effectuer dans la construction de sa diplomatie.
Gageons que cette nouvelle représentation s’inscrive dans un dynamisme d’échanges culturels, et touristiques qui rapportent aux deux peuples