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En 2018, la demande mondiale en pétrole devrait avoisiner les 32,42 millions de barils par jour (bpd) soit 220 000 bpd de plus que les précédentes estimations. C’est qu’indique l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) dans un rapport mensuel relayé par Reuters.
Selon le Cartel, cette révision à la hausse est attribuable à une consommation mondiale d’or noir prévue pour croître d’environ 1,2 million de bpd l’année prochaine et à une reprise du marché physique du pétrole notamment en Afrique et en Europe du fait des effets favorables de l'accord de réduction de l’offre notamment sur les prix du Brent.
Pour rappel, selon l’OPEP, le volume de brut produit en juillet a progressé de 173 000 bpd en se situant à 32,87 millions de bpd. Ce dynamisme a été tiré par la progression des quantités pompées par les deux pays exemptés de la réduction (Libye et Nigeria) mais également de l’Arabie Saoudite, un exportateur majeur de la matière première.
Espoir Olodo/agence ecofin
Selon le Cartel, cette révision à la hausse est attribuable à une consommation mondiale d’or noir prévue pour croître d’environ 1,2 million de bpd l’année prochaine et à une reprise du marché physique du pétrole notamment en Afrique et en Europe du fait des effets favorables de l'accord de réduction de l’offre notamment sur les prix du Brent.
Pour rappel, selon l’OPEP, le volume de brut produit en juillet a progressé de 173 000 bpd en se situant à 32,87 millions de bpd. Ce dynamisme a été tiré par la progression des quantités pompées par les deux pays exemptés de la réduction (Libye et Nigeria) mais également de l’Arabie Saoudite, un exportateur majeur de la matière première.
Espoir Olodo/agence ecofin
