D’après la source qui s’est confiée à Reuters, la date du 25 mai n'est pas encore arrêtée et pourrait être modifiée. L’accord signé en décembre arrivera à expiration à la mi-2017. Même si tous les producteurs ne se sont pas encore officiellement prononcés sur la question, ils reconnaissent que l’idéal, pour favoriser le retour à l’équilibre du marché, est de prolonger l’accord.
L’Arabie Saoudite, premier exportateur mondial de pétrole, a annoncé être prête pour réduire davantage sa production si les autres pays du cartel et ceux non-OPEP, en l’occurrence la Russie, sont du même avis. La Russie est l’un des plus grands artisans de la réduction de l’offre globale et de la remontée des prix au-delà des 50 $. Moscou a réduit de 300 000 barils par jour sa production pétrolière pour participer à l’effort. Ce volume ajouté à celui des autres pays non-membres de l’OPEP a porté à 558 000 barils par jour la réduction hors-cartel.
Il faut rappeler que l’OPEP s’est engagée à réduire de 1,2 million de barils sa production quotidienne.
Source : agence ecofin