Cette histoire bidon, montée de toutes pièces lors de l'affaire Riggs Bank qui remonte à une dizaine d’années en amont.
Pour rafraichir la mémoire de ces colporteurs de fausses nouvelles, la Guinée-Equatoriale avait commandé des équipements militaires pour les forces de sécurité de ce pays. Cette transaction avait été menée à travers une société de l’Etat russe qui a pignon sur rue, et dans laquelle travaillait le concerné. C’était de surcroit leur représentant officiel.
Pour effectuer le règlement de cette commande, un ordre de virement a été émis et dont le donneur d’ordre n’était autre que l’Etat Equato-guinéen, via la Banque espagnole SANTANDER S.A. Tout cela s’est passé en toute transparence et dans les règles de décaissement établis.
Outre cela, le fameux russe est de nationalité espagnole ; une nationalité qu’il a acquise depuis des années. Quand à vouloir prétendre qu’il aurait été apréhendé pour de prétendues transactions au profit du président Equato-guinéen, c’est encore là de pures affabulations. Car le concerné n’a jamais été en contact avec le Président Obiang Nguema Mbasogo.
Cette affaire est identique à celles des BMA, tout d'abord les occidentaux touchent l'argent légalement dans leurs sociétés par des transactions reconnues régulières par leur système bancaire. Et lorsque des années passent, une histoire cousue de fil blanc est montée pour confondre l’Etat Equato-Guinéen.
Tout ceci traduit une fois de plus le ridicule des sites Diario Rombe et El confidential, dans leur spirale de désinformation. Ce sont ces mêmes sites, que l’on s’en souvienne, qui ont annoncé en tambour battant, que le président Obiang Nguema Mbasogo lançait un plan de construction de logements sociaux au village de Medzeng, un village situé à la frontière Gabonaise du côté de Mongomo. Alors qu’il n’en était rien.
Ils avaient oublié que pour construire au Gabon, comme dans tous les pays du monde, un permis de construire est exigé. Ce qui signifie au préalable un dossier aux services du cadastre dudit pays. Ces informations sont à la portée de tout le monde. Il suffit de se rendre aux services du cadastre gabonais pour vérifier. Ce que Diario et El confidential sont incapables de faire.
Il en est de même des informations sur cette affaire de transaction « occulte ». Sorti de l’imaginaire des rédacteurs espagnols de Diario Rombe. Le but étant de salir. Pas de rechercher la vérité. Car c’est bien plus facile d’inventer que de rester dans la vérité.
l'article en question CLIQUEZ ICI