Les progrès constatés dans le domaine du développement humain et surtout en matière d'éducation, ont été exposés pendant la conférence ministérielle. Depuis 5 ans déjà, se tient cette conférence ministérielle. Elle est une plate forme importante de promotion de l'innovation en Afrique et cette année, les TIC conçues et créées en Afrique pour les africains, leur influence dans le processus de transformation du continent étaient les sujets d'analyse.
C'est dans ce cadre que cette année spécifiquement, les organisateurs ont consacré toute une journée à des discussions approfondies sur un certains nombre de sujets. Parmi les sujets débattus par les leaders africains: l'Education comme point central pour le changement en Afrique; concevoir des TIC appropriées pour l'Afrique; comment établir un budget pour les TIC dans l'éducation publique; les TIC et les infrastructures; le développement de l'éducation et de la santé par le biais des TIC. Les exemple du Rwanda et du Kenya ont été étudiés à cause de la mise en oeuvre au sein de ces deux pays, d'un système d'éducation et d'alphabétisation digitale.
Les membres des gouvernements des 13 pays africains que sont l'Angola, le Rwanda, l'Ouganda, le Cameroun, l'Afrique du Sud le Botswana, le Nigéria, le Burkina Faso, le Soudan, le Zimbabwe, le Mozambique, le Lesotho et la Guinée Equatoriale, assistés de haut fonctionnaires d'autres nations africaines ont participé à cette édition, la 5eme du genre.
Il y avait aussi cet événement d'envergure, des expositions et des stands de grande filiales exerçant dans le domaine des TIC parmi lesquelles: Microsoft, IBM, Intel, Samsung, Huawei, Positvo, BGH, Amazon et bien d'autres encore. Ces multinationales ont profité de l'occasion pour partager leur savoir faire en proposant des solutions éducatives pour l'Afrique et en même temps, communiquer sur de prochains investissements dans le continent.
Côté équato-guinéen, outre le secrétaire d'Etat chargé du suivi César Mba Abogo, Eliàs Ovono Edjo Lliéna et Sancha Avamo Ekoro, tous deux techniciens du ministère de l'Economie de la Planification et des Investissements publics, ont également participé à des réunions avec des entreprises comme B-Brigh JP, AKYUMEN Technologies, PAARL MEDIA, UC-Wireless, Wiley, Amazon, E-Gate solutions..., désireuses de connaître les opportunités d'investissement en Guinée Equatoriale.
Nul doute que les prochains mois verront certaines de ces entreprises, s'installer en Guinée Equatoriale et ailleurs en Afrique comme l'on déjà fait les Microsoft, IBM ou Intel qui ont des sièges régionaux en Afrique de l'Est, pour ne citer que celles là.