L'accueil
Cette décision est prise en raison des poursuites engagées par les autorités espagnoles à l’encontre des dirigeants militaires de la Guinée équatoriale.
La coopération dans le domaine militaire entre la Guinée équatoriale et le Royaume d’Espagne pourrait être complètement suspendue. C’est ce qui ressort de la réunion tenue le 12 mai dernier entre le vice-président de la Guinée équatoriale, Nguema Obiang Mangue, et la direction des forces armées du pays.
Cette décision est prise en raison des poursuites engagées par les autorités espagnoles à l’encontre des dirigeants militaires de la Guinée équatoriale. Le vice-président a également annoncé le lancement d’exercices militaires et de marches sur le territoire de la Guinée équatoriale, afin de maintenir la capacité de combat et le moral de l’armée régulière du pays. Nguema Obiang Mangue a exhorté la population locale à rester vigilante en raison de la possibilité de troubles et d’instabilité dans les pays de la région.
Le refus de la coopération militaire
Tout indique que les autorités de la Guinée équatoriale sont déterminées à rejeter l’assistance militaire de l’ancienne puissance coloniale. Ce n’est pas la première fois dans l’histoire du continent africain qu’une décision aussi radicale est prise. Il existe des exemples tout à fait réussis de la République centrafricaine et du Mali qui ont refusé l’aide militaire de la France. Le refus de la coopération militaire dans ces pays s’inscrit dans le contexte des relations solides déjà établies avec les dirigeants militaires de la Fédération de Russie, qui assurent la protection des intérêts, de la souveraineté et des frontières territoriales de ces États.
En même temps, les autorités de la Guinée équatoriale doivent tenir compte du fait qu’en prenant une telle décision sans précédent, elles ont besoin d’un nouvel allié. Sans un soutien militaire sérieux de l’extérieur, les vastes réserves de pétrole, de gaz et d’autres ressources naturelles du pays seront une proie facile pour la plupart des pays de la région. Et les risques inutiles pour la sécurité de l’État deviendront très vite évidents. Surtout si l’on considère le nombre de détracteurs que le président Obiang Nguema Mbasogo a réussi à se faire en 40 ans de pouvoir, ainsi que son fils, le vice-président et successeur Nguema Obiang Mangue.
Source : Actu Cameroun
La coopération dans le domaine militaire entre la Guinée équatoriale et le Royaume d’Espagne pourrait être complètement suspendue. C’est ce qui ressort de la réunion tenue le 12 mai dernier entre le vice-président de la Guinée équatoriale, Nguema Obiang Mangue, et la direction des forces armées du pays.
Cette décision est prise en raison des poursuites engagées par les autorités espagnoles à l’encontre des dirigeants militaires de la Guinée équatoriale. Le vice-président a également annoncé le lancement d’exercices militaires et de marches sur le territoire de la Guinée équatoriale, afin de maintenir la capacité de combat et le moral de l’armée régulière du pays. Nguema Obiang Mangue a exhorté la population locale à rester vigilante en raison de la possibilité de troubles et d’instabilité dans les pays de la région.
Le refus de la coopération militaire
Tout indique que les autorités de la Guinée équatoriale sont déterminées à rejeter l’assistance militaire de l’ancienne puissance coloniale. Ce n’est pas la première fois dans l’histoire du continent africain qu’une décision aussi radicale est prise. Il existe des exemples tout à fait réussis de la République centrafricaine et du Mali qui ont refusé l’aide militaire de la France. Le refus de la coopération militaire dans ces pays s’inscrit dans le contexte des relations solides déjà établies avec les dirigeants militaires de la Fédération de Russie, qui assurent la protection des intérêts, de la souveraineté et des frontières territoriales de ces États.
En même temps, les autorités de la Guinée équatoriale doivent tenir compte du fait qu’en prenant une telle décision sans précédent, elles ont besoin d’un nouvel allié. Sans un soutien militaire sérieux de l’extérieur, les vastes réserves de pétrole, de gaz et d’autres ressources naturelles du pays seront une proie facile pour la plupart des pays de la région. Et les risques inutiles pour la sécurité de l’État deviendront très vite évidents. Surtout si l’on considère le nombre de détracteurs que le président Obiang Nguema Mbasogo a réussi à se faire en 40 ans de pouvoir, ainsi que son fils, le vice-président et successeur Nguema Obiang Mangue.
Source : Actu Cameroun
