Il s’agit d’un mémorandum initial de trois ans obligeant les deux parties à négocier et parapher un accord de vente, d’achat de GNL et d’utilisation de terminal (TUA) qui servira de base à leur premier échange de GNL. Le MoU autorise également à la Guinée équatoriale d’explorer et de produire du pétrole et du gaz au Burkina Faso.
Dans le cadre de l’accord, les deux parties feront une étude technique pour la construction des terminaux de stockage de GNL et échangeront des connaissances et des données. Ils travailleront également à la construction de terminaux de stockage au Burkina Faso et aux infrastructures de transport, soit par pipeline, soit par un transporteur de GNL.
Pour rappel, la Guinée équatoriale est l’un des principaux producteurs de GNL en Afrique, exportant 3,4 millions de tonnes par an de GNL vers des destinations dans le monde entier. Il s’est engagé à élargir considérablement sa capacité d’exportation grâce au projet Fortuna FLNG de 2,2 millions de tonnes par an.
NDEYE MAGATTE KEBE