"Au bout de nos investigations, nous avons trouvé qu'il y a cette situation suspecte et frauduleuse", a expliqué Miguel Engonga Obiang.
Le gouvernement a demandé à Total de proposer un arrangement lors d'une réunion prévue le lundi 21 août avec les responsables de la société française en Guinée équatoriale, selon la télévision d'Etat.
Contactée à plusieurs reprises par l'AFP, la direction de Total en Guinée équatoriale n'a pas répondu.
Malabo dit avoir transmis le dossier à la justice pour déclencher une procédure judiciaire.
Avec AFP