Le chef d'État a profité de l'occasion pour annoncer la célébration de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2015), qui aura lieu en Guinée équatoriale, et a réitéré l'importance d'affronter ce fait: «Hier, nous avons reçu une importante délégation africaine de la CAF qui est venue pour demander à la Guinée équatoriale d'accueillir les compétitions africaines de cette année-là, car il n'y a aucun pays voulant les accueillir. Et la Guinée équatoriale a accepté, car nous pouvons accepter ces jeux africains. Cette volonté élèvera de plus en plus le nom et les bénéfices de la Guinée équatoriale. Et c'est cela ce que nous devons faire, parce que la grandeur ne dépend pas des dimensions du pays, mais des habitants et de la volonté des fils de ce pays. La preuve de cela c'est justement la conclusion de ce dialogue. C'est pour cela que je vous félicite tous».
La journée- dont la date est inscrite dans l'histoire de la Guinée équatoriale- s'est terminée par la photo de groupe de tous les acteurs politiques.
De la part des partis légalisés, ceux qui ont signé l'accord sont les suivants:
Parti démocratique de Guinée équatoriale (PDGE) ; Union populaire (UP) ; Convention libérale démocratique (CLD) ; Parti social-démocrate(PSD) ; Alliance démocratique progressive (ADP) ; Union démocratique sociale (UDS); Convergence sociale démocratique et populaire (CSDP); Parti de la coalition sociale démocrate(PCSD) ; Action populaire de la Guinée équatoriale(APGE); Union démocratique nationale(UDENA) ; Parti socialiste de la Guinée équatoriale (PSGE) et Parti libéral(PL).
Dans le cadre des partis non légalisés qui ont signé l'accord, on retrouve:
l'Union de centre droite (UCD); Candidature indépendante (CI); Convergence pour la démocratie sociale rénovée (CPDSR); Mouvement pour l'autodétermination de l'île de Bioko (MAIB); Union populaire (UP); Parti national démocratique (PND); Front national de libération de la Guinée équatoriale (FRENALIGE) et Faction d'action populaire de la Guinée équatoriale (APGE). Parmi les activistes indépendants, on trouve Ramón Ecoro, de la Suède, ou le groupe de la société civile provenant du Gabon.
(Extraits de www.guineaecuatorialpresscom)