
Lejeal Frédéric, la plume des officines, aurait commencé par s’informer sur la réalité de l’Etat Equato-Guinéen. C’est à dire s’imprégner au minimum du dispositif constitutionnel sur la succession avant d’avancer des propos tout à fait réfutables concernant la succession dans ce pays. Le dispositif en la matière dit clairement qu’en cas de vacance du pouvoir, il appartient au président du SENAT d’assurer l’intérim du président de la République. Et dans le temps prescrit par la loi, une élection présidentielle est organisée pour désigner le nouveau Chef de l’Etat. Il va donc sans dire que ce n’est nullement par décret que le Président de la république va désigner son successeur. La Constitution ne le lui autorise pas. Où Lejeal Frédéric, cet obscur écrivain, a-t-il lu que la nomination de Teodoro Nguema Obiang Mangue au poste de Vice-Président de la république signifiait que le processus de la succession était engagé ?
Voilà le prototype de journaliste affairiste et paresseux qui, de son bureau au 142, rue de Montmartre dans le deuxième arrondissement de Paris, regarde le monde à travers une lucarne pour en prédire les événements sans en avoir une vue globale. Voire qu’il attend d’une somme d’indicts tout aussi prétentieux que lui, quelques ragots qu’il tient pour vrai. C’est le cas de la déchirure selon Lejeal, née de cette nomination au sein de la « famille de Mongomo ». Les frères du président de la République en seraient divisés.
Lejeal montre bien que ses informations sont infondées car s’il avait été un journaliste sérieux, de bonnes sources lui auraient indiqué que Armengol Ondo Nguema n’a jamais été Ministre de la Défense. Pour l’information de Lejeal, ce dernier est délégué national à la sécurité. Nicolàs Obama Nchama non plus n'a jamais été ministre chargé de la sécurité intérieur,et que ce poste n'existe pas dans le gouvernement Equato-Guinéen, M. Nicolas Obama Nchama occupe la fonction de ministre d'Etat chargé de la sécurité Nationale.
Toute la question est : qui finance Lejeal pour ce travail ? Car il n’est plus question pour lui de donner des informations mais d’attiser le feu au sein d’un groupe de personnes où aucune ambition ne s’affiche. La ligne traditionnelle de Lejeal sur la Guinée-Equatoriale reste inchangée : opposer la famille du président à celle de la première dame. Amplifiant ainsi des polémiques et crises imaginaires en leur sein.
Visiblement Frédéric sert des obsédés et des mafieux dont le but est de pousser la Guinée-Equatoriale vers le chaos pour ensuite, comme en Centrafrique et au Congo-Kinshasa, se ruer comme des vautours et en toute illégalité sur les richesses de son sous-sol. Malheureusement leur agent, Frédéric Lejeal est démasqué. Lui dont l’entreprise ne fonctionne qu’à coup de dessous de table. Et il sera impossible à cet homme de démentir que sa plume a souvent trempé dans des billets imbibés d’encre de certains palais africains. Malheureusement pour lui, le Palais de Malabo ne sombrera jamais dans ces pratiques de corruption.
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