« L'exécution de cet accord vise à augmenter l'offre intérieure au cours de la période et à améliorer encore la situation énergétique du Ghana, tant pour les consommateurs locaux que pour le secteur industriel », lit-on dans le communiqué.
Cette nouvelle survient deux mois après la signature d’un MoU entre les ministres de l’Energie des deux pays, notamment dans le domaine de l’approvisionnement gazier.
Bien qu’il soit un producteur de gaz naturel depuis 2010, l’appétit du Ghana pour le GNL est de plus en plus marqué car la demande intérieure ne cesse de croître. Le pays souhaite devenir un hub de production d’électricité pour le marché régional à partir du GNL. Et les trois projets d’importation (Sahara-NNPC, Quantum et Skaugen) semblent ne pas pouvoir satisfaire les ambitions d’Accra.
Parallèlement, la Guinée Equatoriale, qui développe actuellement le premier projet de liquéfaction de gaz naturel en eaux profondes qui aura une capacité de 2,2 Mtpa, a signé un contrat d’off-take avec Gunvor pour la moitié de cette production. Malabo envisage de vendre le reste aux autres pays africains et sur les marchés dynamiques comme ceux d’Asie.
Source / agence ecofin