Il l’a fait lors du forum auquel ont participé d’autres chefs d’État africains, notamment S.E. Wavel Ramkalawan, de la République des Seychelles; S.E. Hakainde Hichilema, Président de la Zambie; S.E. Muhammadu Buhari, Président du Nigéria et S.E. Ali Bongo Onda, Président du Gabon.
Des membres du Congrès américain, du cabinet du Président Biden, ainsi que des représentants d’organisations multilatérales, de philanthropies, de leaders du secteur privé, de militants, d’universitaires, de jeunes, etc., ont également participé à la réunion.
Le Secrétaire d’État des États-Unis, Antony Blinken, a modéré la réunion au cours de laquelle les dirigeants africains ont discuté des mesures urgentes dont la planète a besoin pour enrayer le défi du changement climatique, qui touche également le continent africain.
Blinken a ouvert la conférence en rappelant la récente tenue de la COP27 en Egypte, et comme, à mesure que l’urgence de la crise climatique augmente, l’approche mondiale doit être de plus en plus axée sur l’Afrique, 17 des 20 pays les plus vulnérables au climat se trouvent sur le continent africain.
Et comment ce changement provoque des crises aussi dramatiques que les quatre années consécutives de sécheresse dans la Corne de l’Afrique, qui ont laissé plus de 18 millions de personnes souffrir d’une grave famine.
Les dirigeants des différents pays africains, dont le Président de la Guinée équatoriale, ont participé à la réunion pour commenter les conséquences dramatiques que le phénomène du climat est en train de provoquer sur le continent.
La Guinée équatoriale vient d’augmenter son engagement de réduire ses émissions de 35 % d’ici 2030.
Source : Service de presse du PDGE