L'accueil
L’Agence Internationale de l’Energie (AIE) craint qu’un gel concerté de la production pétrolière, conformément à l’accord d’Alger, n’entraîne un déficit de l’approvisionnement mondial en 2017.
« Si les pays membres de l’OPEP mettent en œuvre leur engagement d’Alger, la production pétrolière pourrait chuter. L’équilibre du marché passera ainsi rapidement de l'offre excédentaire au déficit en 2017, même avec les stocks accumulés dont l’épuisement prendra un certain temps », a indiqué l’organisation dans un rapport.
Il s’agit d’une prévision favorable à la remontée des prix.
Les experts de l’AIE ont également souligné que si aucun accord n’était trouvé, le 30 novembre, pour répartir les quotas de production et si les pays de l'OPEP continuaient à augmenter les volumes de production, le marché resterait excédentaire pendant toute l'année 2017.
Cependant, il y a quelques mois, l’agence avait anticipé une chute de la demande mondiale en 2017. Si cela arrivait, l’impact sur les prix serait réduit et ceux-ci ne connaîtraient éventuellement pas une forte hausse.
Olivier de Souza/agence ecofin
« Si les pays membres de l’OPEP mettent en œuvre leur engagement d’Alger, la production pétrolière pourrait chuter. L’équilibre du marché passera ainsi rapidement de l'offre excédentaire au déficit en 2017, même avec les stocks accumulés dont l’épuisement prendra un certain temps », a indiqué l’organisation dans un rapport.
Il s’agit d’une prévision favorable à la remontée des prix.
Les experts de l’AIE ont également souligné que si aucun accord n’était trouvé, le 30 novembre, pour répartir les quotas de production et si les pays de l'OPEP continuaient à augmenter les volumes de production, le marché resterait excédentaire pendant toute l'année 2017.
Cependant, il y a quelques mois, l’agence avait anticipé une chute de la demande mondiale en 2017. Si cela arrivait, l’impact sur les prix serait réduit et ceux-ci ne connaîtraient éventuellement pas une forte hausse.
Olivier de Souza/agence ecofin
