A l’issue des échanges relatifs aux conditions à mettre en place pour un bon fonctionnement, instruction a été donnée aux différents responsables de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour fluidifier la reprise et la présence des cadres à leurs postes et cela sans condition. « Les caméras de surveillance sont en marche et les absents seront durement sanctionnés », a déclaré Pierre Moussa.
Pour comprendre la désaffection qu’on observe parmi les employés de la Commission de la Cemac, il faut se rappeler que cette institution communautaire était en errance à cause des troubles quasi permanents au siège originel à Bangui, en Centrafrique.
Pour mettre fin à cette situation, Pierre Moussa et le président du Conseil des ministres de l’Union des Etats de l’Afrique centrale (Ueac), Baltasar Engonga Edjo’o, ont procédé le samedi 29 octobre 2016 à la signature de l’acte rétrocédant officiellement un bâtiment à Malabo servant désormais de siège provisoire de la Commission.
Source : Agence Ecofin