« Cette adhésion imminente exprime la volonté de son Excellence, le président Denis Sassou Nguesso, de placer notre pays au rang des leaders mondiaux de la production pétrolière. », a-t-il déclaré.
Dans sa démarche, le pays aurait même reçu le soutien du ministre saoudien des affaires étrangères Adel al-Jubeir, dont le pays est le plus important membre du cartel.
En cas de succès, le Congo deviendra le septième pays africain à intégrer le cartel après, le Nigéria, l’Angola, l’Algérie, la Libye, le Gabon, et la Guinée Equatoriale.
Cette adhésion pourrait contrecarrer les plans du Congo de porter sa production de 250 000 barils par jour actuellement, à 350 000 barils par jour en 2018, car il pourrait se voir attribuer un quota de réduction significative de son offre.
Cela aurait, de surcroît, de lourdes conséquences sur l’économie qui a besoin d’une augmentation de la production pour amortir les effets de la faiblesse des prix du baril.
Le Congo dépend presque exclusivement de la manne pétrolière pour ses recettes en devises et le financement de son budget.
Avec l'agence écofin