Pour la simple raison que Diario Rombe, de sa tour d’ivoire en Espagne, ne peut pas comprendre le système chinois qui est le même dans tous les pays. Ces entreprises, une fois les contrats obtenus s’empressent de faire venir toute sa main d’œuvre de la Chine. Et ce du moindre chauffeur au technicien supérieur. C’est le mode opératoire qu’ils emploient dans tous les pays africains où ils ont des marchés. Ce système ne respecte naturellement pas la plupart des codes du travail en vigueur dans nombre d’Etats où ils se trouvent.
Le résultat de cette politique est que les quotas d’employés expatriés ne sont pas respectés. Par ailleurs, les profils des employés cadres qui peuvent faire l’objet d’expatriation ne sont pas non plus respectés. Ainsi cette pratique piétine allègrement le Code du travail du pays hôte. Qui irait le faire en Chine ? Rappeler aux Chinois les règles élémentaires à observer dans le pays d’accueil relève-t-il du devoir du premier commis de l’Etat ? Bien sûr que oui. Cela est difficile à admettre pour Diario Rombe, qui organise sa vérité en occultant le fond du problème. Uniquement pour faire sensation.
En agissant de la sorte, il n’y a aucun doute que le Président Obiang se préoccupe de l’emploi des Equato-Guinéens et se présente en défenseur du code du travail de son pays et donc en défenseur de l’employé Equato-Guinéen. Tout comme il anticipe déjà sur la mise au ban de certaines pratiques qui n’encouragent pas les efforts de développement de la Guinée Equatoriale qu’il n’a eu de cesse de déployer.
L’autre réalité qui échappe naturellement à Diario Rombe, est la privation de la Guinée Equatoriale de colossales sommes d’argent qui échappent au fisc par un système où l’on ne connaît pas le revenu exact d’un employé Chinois, puisque ces revenus distribués en toute opacité se passent loin de tout contrôle. Or en employant les autochtones, ceux ci contribuent à la richesse du pays par le système des impôts sur le revenu et d’autres taxes. Toute chose que cette pratique chinoise ne favorise pas.
Il est regrettable que le patron de cette feuille de choux appelée Diario Rombe, et à l’histoire ténébreuse, soit aveuglé par son tribalisme gratuit et sans fondement ajouté à sa haine bestiale. Nous reviendrons sur son cas.
LIRE L’ARTICLE EN QUESTION DE DIARIO ROMBE CI-DESSOUS EN ESPAGNOLE :
Obiang convoca a todas las empresas chinas en el “Gran Hotel Djibloho”
No es la primera vez que el Gobierno convoca a las empresas Chinas, hace tres semanas, el Vicepresidente Segundo Encargado de la Defensa y Seguridad del Estado Teodoro Nguema Obiang Mangue, recomendó al Primer Ministro, al Ministro de Obras Públicas y al Ministro de Trabajo y Seguridad Social, que buscasen mecanismos para conseguir trabajos a los Guineanos.
Los chinos se niegan a cumplir con las ordenes del Gobierno de Guinea Ecuatorial hasta que Obiang Nguema termine de pagar la deuda que tiene con el Gobierno chino y las que tiene aún pendientes de pago, las obras que ya han sido entregadas. Las mismas fuentes del Ministerio de Obras Públicas, aseguraron que el Presidente Obiang Nguema es socio junto con el Embajador de China de la empresa “China Dalian Internacional Coorporation”.
Las fuentes revelan que esa empresa consiguió suculentos contratos de obras ,entre ellos la Construcción del edificio sede de la Tesorería General del estado en Malabo (25.941.013.350 Fcfa), La Construcción de un edificio administrativo en Malabo (5.920.647.600 Fcfa), La Construcción de 450 viviendas en Luba, Riaba, Vigatana y en otras localidades (22.116.000.150 Fcfa)