Il faut noter que cette augmentation est essentiellement portée par un regain de l’activité d’exploitation au Nigéria et en Libye. Chez le premier, la production a augmenté de 174 000 barils à 1,68 million de barils par jour, grâce à la remise en service de certaines installations de transport de l’huile, fermées au plus fort des attaques des militants du Delta du Niger. Au niveau du second, les volumes extraits ont monté de 178 000 barils par jour à 730 000 barils, grâce à la réconciliation entre certaines factions rivales.
De l’autre côté, l’Irak a augmenté sa production de 44 000 barils par jour. Bagdad n’a pas encore suffisamment réduit sa production pour atteindre le quota, à lui fixé, de 4,35 millions de barils par jour, indique Financial Tribune. En mai, le pays a produit 4,42 millions de barils sur une base quotidienne.
La même source précise que seulement quatre pays au sein du groupe ont respecté l’application de leurs quotas de réduction. Il s’agit de l’Arabie Saoudite, l’Angola (qui a enregistré une baisse de 54 000 barils par jour de sa production), du Koweït et du Qatar.
Source : agence ecofin