Parmi eux, les membres de la coalition de la rupture qui avaient un engagement moral et qui avaient déjà dit qu’ils tiendraient parole, comme Sébastien Ajavon qui s’est classé 3e du premier tour, le 4e Abdoulaye Bio Tchané, et le 5e, l’ancien Premier ministre du président Boni Yayi, Pascal Iréné Koukpaki.
Parmi les soutiens, on trouve aussi des proches du chef de l’Etat, Marcel de Souza, son beau-frère, ancien ministre du Développement et son cousin Kogui N’douro. On a également vu l’ancien chef de la diplomatie, Nassirou Bako Arifari et l’ancien ministre des Transports, Napondé Aké.
Un protocole d’accord a été signé avec des engagements précis pris par le candidat Patrice Talon. L’ancien mania du coton promet, s'il est élu, de ne faire qu’un mandat de 5 ans, de préserver l’intérêt général et de ne pas se venger. L’ancien Premier ministre, Pascal Irénée Koupaki, a qualifié l’événement « d’acte majeur, car c’est la première fois qu’autant de candidats en soutiennent un ».