Problème, contrairement à ce qu'elle prétend, la Cored n'est PAS partie civile dans le dossier dit des biens mal acquis. Et cette opération de collecte n'est ni plus ni moins qu'une escroquerie destinée à plumer des innocents.
En effet, la procédure judiciaire dite des biens mal acquis a débuté en 2012 et, à l'époque, ni la Cored ni la Cored-PP n'existaient. Ce n'est qu'en 2015 que Dominique Calace de Ferluc, âme damnée de Salomon Abeso, a créé l'association Cored. Contrairement à ce qu'elle prétend, la Cored n'est donc pas à l'origine de la procédure des biens mal acquis.
Pas plus qu'elle ne peut se prévaloir d'y avoir joué un rôle. Et pour cause ! La justice française n'a jamais été dupe de cette supercherie et a refusé d'accorder à la Cored le statut de partie civile.
A l'époque, cela n'avait pas empêché Salomon Abeso de faire les poches des Ong Transparency et Sherpa pour, soit disant, financer les frais d'avocats de Cored pour agir comme partie civile. Mais quand ce statut leur a été refusé, les fonds perçus ont-ils restitué aux généreux donateurs ? Bien sûr que non !
En 2018, Cored récidive avec son escroquerie à la partie civile. Et va même plus loin puisque Salomon Abeso et ses amis essaient de faire la manche auprès de grands groupes français en délicatesse avec la Guinée Equatoriale.
Ils n'hésitent pas à raconter que Cored tient l'armée ou qu'ils favoriseront les affaires de ces groupes quand ils seront au pouvoir... L'adage est bien connu : escrocs d'un jour, escrocs toujours !
G.CADEMO